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LE BLOG DE MINUIT

  • MACRON entraîne la France vers le pire : guerre raciale et conflit mondial

    Escalade vers le conflit mondial, guerre raciale sur le sol de France, Macron veut la guerre totale et la destruction de la France.

    3 ÈME GUERRE MONDIALE

    Guerre raciale sur le territoire national.

    Le contexte et les événements récents ne laissent plus aucun doute. C’est maintenant très clair, bien qu’incertaine quant à la date, la prochaine explosion de violence à partir des quartiers à majorité afro-musulmane sera générale. Elle touchera toutes les grandes villes, mais aussi les villes petites et moyennes où ont été délocalisées les populations allogènes surnuméraires des métropoles. Elle impliquera des centaines de milliers d’insurgés. Elle sera motivée par la haine raciale, la haine du Blanc, la volonté de nous détruire. Fait aggravant, l’insurrection sera attisée par les islamo-gauchistes et largement organisée et téléguidée de l’étranger. Enfin et c’est le pire, tous les signaux ont déjà été envoyés par le pouvoir macronien aux insurgés et à ceux qui les poussent, pour leur indiquer que rien ne viendra leur barrer la route.

  • HUGO ZEMMOUR - ZEMMOUR HUGO

    On reproche à Éric Zemmour d'être « brutal » et radical. J'ai voulu comparer son discours à celui de Victor Hugo quand il luttait contre le retour à l'enseignement des religieux à l'école. Il a même du s’exiler après avoir été accusé « d’appel au meurtre et à l’assassinat » lors de la prise de pouvoir « abusive » de Louis Napoléon. Éric Zemmour, lui, est accusé d’incitation à la haine raciale parce qu’il dénonce les violences factuelles liées à l’immigration de masse, la non-assimilation des immigrés musulmans, et qu’il ose rappeler les fondements de notre Laïcité originelle, dévoyée par l’islamo-gauchisme.

    Ce livre invite à comprendre l'esprit Français face à la religion, car la séparation de l'Église et de l'État ne consistait pas uniquement à placer la religion en dehors de la sphère publique, mais à éduquer les peuples à adopter une religion discrète, une foi intérieure, pour éviter le séparatisme et les obstacles au fameux "vivre ensemble". Ce livre s’adresse à tous ceux qui ne comprennent pas « la résistance » à l’islamisation de la France, l’esprit fondamentaliste (clérical) que dénonçait Victor Hugo à son époque. La Laïcité permettait de conférer aux croyances une place autorisée tant qu’elles ne troubleraient pas l’ordre public de la France. Cependant, dans son contexte, elle ne concernait pas l’islam, mais les religions chrétiennes. Trahi par la majorité des journalistes, Éric Zemmour a deux fois été évincé, lui qui espérait faire réagir le peuple et sauver la France de cette politique mondialiste collaboratrice avec un islam conquérnt : campagne politique en faveur du voile pour toutes, mosquées qui fleurissent, guide pour une nouvelle façon de parler, celle d'effacer notre identité, label halal et son séparatisme entre "purs" et "impurs". 

  • ENZO, 15 ans, assassiné par deux racailles. LAMENTABLE

    En avez-vous entendu parler dans les médias ? Pas assez.

    Enzo est mort samedi dernier à La Haye-Malherbe, commune rurale et sans histoire de 1 300 habitants dans l'Eure.

    Il a reçu un coup de couteau au thorax, a tenté de rejoindre la caserne des pompiers à 100 mètres de là et s'est effondré.

    Il a été tué par deux racailles de son âge qui ont pris la fuite à bord d'une voiture sans permis. Et on lit partout que c'est à cause d'un « échange de regards ». Allons boN;

    ENZO

  • Le temps presse pour arrêter le déclin de la puissance agricole française

    En se fixant pour seuls objectifs la réduction des émissions de CO2, la promotion de l’alimentation bio et la restauration de la biodiversité, l’Union européenne lèse l’agriculture française, alerte le groupe de réflexion Prométhée*, composé de scientifiques et de journalistes spécialisés. Il y a urgence, selon eux, à enrayer le déclin de notre production agricole en cessant de brider les agriculteurs par des normes qui favorisent les pays moins exigeants en matière environnementale.

    Qu’il s’agisse de production agricole, d’industrie ou d’énergie, toute politique s’inscrit dans un temps long. Ainsi, il faut entre huit et dix ans pour sélectionner de nouvelles variétés de blé, de maïs ou de soja, celles qui, par exemple, résisteraient mieux au stress hydrique des printemps et des étés à venir. Il en faut surtout pour qu’un jeune agriculteur qui envisage de s’installer ait suffisamment confiance en l’avenir pour s’endetter lourdement pendant au moins vingt ans.

    TRACTEUR

  • MACRON entraîne la France vers le pire : guerre raciale et conflit mondial

    Escalade vers le conflit mondial, guerre raciale sur le sol de France, Macron veut la guerre totale et la destruction de la France.

    3 ÈME GUERRE MONDIALE

    Guerre raciale sur le territoire national.

    Le contexte et les événements récents ne laissent plus aucun doute. C’est maintenant très clair, bien qu’incertaine quant à la date, la prochaine explosion de violence à partir des quartiers à majorité afro-musulmane sera générale. Elle touchera toutes les grandes villes, mais aussi les villes petites et moyennes où ont été délocalisées les populations allogènes surnuméraires des métropoles. Elle impliquera des centaines de milliers d’insurgés. Elle sera motivée par la haine raciale, la haine du Blanc, la volonté de nous détruire. Fait aggravant, l’insurrection sera attisée par les islamo-gauchistes et largement organisée et téléguidée de l’étranger. Enfin et c’est le pire, tous les signaux ont déjà été envoyés par le pouvoir macronien aux insurgés et à ceux qui les poussent, pour leur indiquer que rien ne viendra leur barrer la route.

  • LA MACRONIE, UN RÉGIME AUTORITAIRE ?

    Depuis la crise des Gilets jaunes, le pouvoir macronien est perpétuellement remis en question. Tous les acteurs de la société française ont, tour à tour, critiqué la mise en place d’un pouvoir vertical, mais surtout soumis à des intérêts extérieurs et non souverains.

    La période que nous vivons aujourd’hui, celle de la réforme des retraites imposée depuis Bruxelles, vient à nouveau soulever l’idée que la France de Macron n’est plus une démocratie. Peut-on pour autant parler d’État totalitaire ou de dictature ? S’il semble encore tôt pour désigner le gouvernement Macron comme dictatorial, en revanche, qualifier d’autoritaire l’exercice du pouvoir mené par Emmanuel Macron correspond, nous le pensons, à la réalité de la situation actuelle de la France.

    Afin de démontrer notre propos, nous nous appuierons sur l’analyse du sociologue politique Juan Linz. Ce dernier qualifiait d’autoritaire toute organisation s’appuyant sur « des systèmes politiques au pluralisme limité, politiquement non responsables, sans idéologie élaborée et directrice, mais pourvus de mentalités spécifiques, sans mobilisation politique extensive ou intensive, excepté à certaines étapes de leur développement, et dans lesquels un leader ou, occasionnellement, un petit groupe exerce le pouvoir à l’intérieur de limites formellement mal définies, mais en fait plutôt prévisibles ».

    MACRON DICTATURE

    Dépolitisation des populations

    Au vu de la perte de notre souveraineté, de l’hypoacousie du gouvernement macroniste aux sirènes populaires et syndicales et d’une répression policière et administrative sans précédent depuis la Guerre d’Algérie, le régime de Macron est-il autoritaire ?

    Le premier élément sur lequel l’autoritarisme se construit est celui de l’apathie et de la dépolitisation des populations. En effet, le contrôle d’un peuple et sa résignation sont le fruit d’une volonté de réduire la puissance populaire au profit d’un pouvoir centré. L’abstention grandit en France, elle a quasiment doublé en 50 ans, pour atteindre 28 % aux dernières élections présidentielles. Cette abstention, couplée au manque de confiance des Français dans ses représentants politiques, illustre cette dépolitisation du peuple. Le transfert de souveraineté à Bruxelles après Maastricht et le non-respect du référendum de 2005 ont été les catalyseurs de ce courant.

    Contrôle des organes de pouvoir

    Après avoir désarmé la volonté, la souveraineté et la puissance populaire, le second composant d’un régime autoritaire s’illustre par un contrôle des organes de pouvoirs politiques et médiatiques par une minorité. Nous avions souligné dans notre dernier article, l’entrisme des personnels politiques, tous issus des mêmes classes sociales. Quant aux médias, l’observation est encore plus flagrante. Ce constat n’est pas neuf, Serge Halimi le décrivait à la perfection dans son chef-d’œuvre Les nouveaux chiens de garde, sorti il y a déjà 26 ans. Aujourd’hui 90 % des grands médias hexagonaux appartiennent à neuf milliardaires. En parallèle, l’État autoritaire subventionne ces derniers à hauteur de plusieurs millions d’euros. Malgré tout cela, l’Élysée souhaite désormais choisir les journalistes qui vont suivre le président de la République française.

    Lors des deux constitutions de 1791 et 1793, en France, l’Abbé Sieyès s’appuie sur la séparation des trois pouvoirs (législatif, exécutif, judiciaire) pour élaborer les nouveaux traits de la démocratie représentative. Si ces trois derniers ne sont pas respectés et autonomes, Montesquieu puis Juan Linz, bien après, ont souligné de possibles dérives autoritaires, si l’un se retrouvait en position de toute-puissance vis-à-vis des deux autres. Il est clair, depuis la crise sur la réforme des retraites, que la Macronie envisage son pouvoir (exécutif) sans se soucier de ses deux autres pendants. En effet, le pouvoir législatif, dont l’Assemblée nationale en est le lieu, est méprisé par Emmanuel Macron et son gouvernement. Le 49,3, arme de l’exécutif pour outrepasser le pouvoir parlementaire a été dégainé 11 fois par le gouvernement Borne, soit plus que les 25 années précédentes. Sans majorité au Palais Bourbon, le tandem Macron/Borne ne respecte ni le pouvoir législatif, en passant la réforme des retraites par le biais du 49.3, ni le pouvoir judiciaire, comme Régis de Castelnau nous le montre quotidiennement.

    Le Conseil constitutionnel, censé contrôler cette séparation et indiquer la marche à suivre pour que la France suive une voie démocratique, est, quant à lui, dévoyé. Nous ne rentrerons pas ici dans les carrières respectives de chacun des membres, dont il ne fait aucun doute que leur logiciel soit branché sur le pouvoir maastrichtien. Néanmoins, il est à noter que le Conseil constitutionnel n’est d’aucune aide lorsque la souveraineté populaire est bafouée par ce pouvoir autoritaire. Le rejet du Référendum d’initiative populaire et la validation de la réforme des retraites sont les énièmes illustrations d’un pouvoir à la dérive.

    D’autres digues, censées nous empêcher de basculer en régime autoritaire, sont aussi torpillées par la Macronie lors de ce second quinquennat. La Ligue des droits de l’Homme, qui avait osé critiquer les forces de l’ordre lors des manifestations à Sainte-Soline, se voit menacée par le ministre de l’Intérieur d’un retrait de subventions. Quant à Anticor, en pointe dans la lutte contre la corruption (affaire Benalla, Alstom…), ces derniers sont en passe de se faire retirer leur agrément.

    Absence de légitimité

    Le cinquième élément constitutif d’un régime autoritaire est l’absence de légitimité du pouvoir en place.

    Alors que l’élection du président de la République est effective par la Constitution, il n’en est pas moins que si l’on s’intéresse aux chiffres, le constat est torpide. Emmanuel Macron, sur un parterre de 48 millions de Français inscrits sur les listes électorales, n’appuie sa légitimité dite démocratique, que sur 39 % des votes : soit un peu moins de 19 millions de votants. Le président semblait prendre en compte la raison de sa réélection, lors de son discours de victoire. On pensait donc avoir une ouverture sociale de la part de l’ancien ministre de l’Économie. C’était sans compter sur l’épisode des retraites. Après avoir réduit le dialogue social à néant (en éclipsant les syndicats), puis outrepassé le Parlement (avec le 49.3), Macron a mené sa propre politique (et celle de Bruxelles) en dépit de la volonté populaire, sans vote, sans débat, sans discussion.

    Absence de souveraineté

    L’absence de souveraineté est un autre trait illustratif, selon les travaux de Linz, d’un régime politique que l’on pourrait qualifier d’autoritaire.

    Depuis 1992 et le Traité de Maastricht, la plupart des prérogatives de l'État français ont été transférées à Bruxelles. Depuis 30 ans, ce processus s’amplifie et aujourd’hui, il est difficile de trouver une seule composante souveraine sur laquelle Macron exerce son pouvoir. Les attributs économiques et financiers sont désormais gérés depuis Francfort, les décisions militaires (notamment sur l’Ukraine) se prennent à Bruxelles et toute politique souveraine nationale est réprimée (en Pologne, Hongrie, etc.). Récemment, Charles-Henri Gallois a encore parfaitement souligné l’asservissement de la France vis-à-vis des institutions, hors-sol, européennes.

    Dans le même temps, la puissance des lobbys privés n’a jamais été aussi forte en France. La souveraineté populaire subit tous les jours, les coups de boutoir des intérêts de grandes firmes nationales. Alors que la démocratie devrait s’appuyer sur la souveraineté du peuple, dans un système s’articulant sur la volonté d’établir un « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », la France semble désormais privilégier les intérêts des grandes entreprises capitalistiques. La pression fiscale, la plus haute d’Europe, s’appuie sur les classes populaires et moyennes, mais semble échapper aux GAFAM. La transparence et le respect des lois ne semblent pas non plus s’appliquer à Uber, qui a corrompu nos « représentants ».

    Le peuple semble n’être qu’un faire-valoir, mis à mort sur l’autel de l’Union européenne et des grandes firmes mondiales.

    Libertés individuelles attaquées

    L’autre composant sur lequel Juan Linz travaille est celui des libertés individuelles. En effet, la restriction de ces dernières est un élément clé dans sa description des régimes autoritaires. La Macronie, depuis les premières semaines de gouvernance, enchaîne les exemples d’atteinte aux libertés fondamentales. Nous ne reviendrons pas sur les multiples exemples durant le premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Depuis sa réélection, et de surcroît durant la réforme des retraites, le président démultiplie les attaques contre les libertés des Français. Que ce soit lors des arrêtés casseroles, de ceux contre les sifflets ou les cartons de la finale de la Coupe de France, mais aussi des multiples interdictions de mouvements lors des déplacements ministériels, le gouvernement et ses sbires préfectoraux intensifient les attaques frontales contre les libertés de chacun des Français. Alors que les délinquances d’en bas et d’en haut semblent impunies (malgré les gesticulations du ministre de l’Intérieur Darmanin), une publication sur Facebook ou l’installation d’une bâche contre Macron sont synonymes de condamnations judiciaires. Ces assauts contre les libertés individuelles se reflétaient déjà dans cette citation visionnaire de Michel Clouscard selon laquelle, dans la société libérale libertaire, « tout est permis, mais rien n’est possible ».

    Ce qui est aujourd’hui invraisemblable, c’est que l’on puisse s’appuyer sur l’analyse de Linz, dont le sujet d’étude principal se portait sur le régime franquiste, comme une grille de lecture du régime autoritaire macroniste. Celle-ci colle point par point à ce que tous nos compatriotes français vivent au jour le jour depuis près de 6 ans.

    La regrettée Coralie Delaume nous prévenait déjà : « Si les référendums ne servent plus à rien, si la grève est sans effet, si le Parlement est contourné et si la Présidentielle ne consiste qu’à choisir entre des clones, alors, il ne reste plus rien de la démocratie. »

    Albert Lieutier

     

  • LA FEMME EN 2023 ...

    Féminine, évidemment. Et dommage que la femme ait perdu ces dernières années sa beauté féminine. Féministe, oui, mais à condition que condition ne sombre dans le ridicule comme c'est trop souvent le cas.

    www.lafranceliberee.fr

    JOLIE FEMME

  • Des militaires en appellent au Peuple français : avec Jean-Pierre Fabre-Bernadac

    Des militaires en appellent au Peuple français : avec Jean-Pierre Fabre-Bernadac

    Le 14 avril 2021, Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier, était à l’origine de la "Tribune des généraux", une pétition signée par des milliers de militaires et qui a fait l’effet d’une déflagration. Deux ans plus tard, le président de l’association Place d’armes lance un appel direct et pressant au Peuple français.

    Pour les premiers cosignataires de l’appel, il est crucial que les citoyens se mobilisent pour former une "union sacrée" face à la déliquescence de nos institutions, aux tensions sociales et à la montée des violences. Pour Jean-Pierre Fabre-Bernadac, "si les militaires ont un rôle important à jouer dans la protection de la nation, la résolution des problèmes désastreux actuels nécessite l’implication de tous les citoyens".

    Appelant à une grande manifestation nationale à Paris le 13 mai, les responsables de Place d’armes veulent démontrer la responsabilité des gouvernements successifs dans le déclassement de la France et veulent aussi mobiliser tous les patriotes, en dehors des chapelles partisanes, pour renouer avec cet esprit d’union sacrée et de résistance qui s’exprimèrent courageusement en France pendant la douloureuse période de la Première Guerre mondiale.

    MILITAIRES PLACE D ARMES

  • ÉLISE LUCET, l’archange si « spéciale » de la désinformation

    Élise Lucet est une journaliste estampillée « spécialisée dans l’investigation », notamment avec son émission Envoyé spécial… Effectivement très spéciale comme ont pu en juger les opposants (victorieux) au projet Horizon de la fondation Merci pour l’implantation de migrants à Callac (Côtes d’Armor) dans l’émission qu’elle leur a consacré le jeudi 6 avril sur France 2.

    Tout d’abord, dans sa conception très spécieuse de l’équité, malheureusement calculée comme celle de la répartition dite du « pâté de cheval et d’alouette » : « S’agissant du temps de parole accordé aux deux parties, le visionnage de l’émission permet de constater que 90 à 95 % du temps fut accordé aux personnes favorables à l’arrivée des migrants », dénonce Bernard Germain, Porte-parole de la Coordination Partout Callac dans un article du site Synthèse nationale cliquez ici.

    ÉLISE LUCET

    De son côté, Catherine Blein, ancienne présidente des Amis de Callac et de ses environs, s’insurge que sur ses deux heures d’entretien avec la journaliste Julie Benzoni dans lesquelles elle exposait les raisons de l’opposition au projet Horizon, « pas une seule seconde de ces heures d’entretien n’a été diffusée. »

    Et « pas un mot, pas une image ne montra non plus les violences des antifas, à trois reprises à Callac, dont la dernière, le jour des vœux du maire fin janvier, déboucha sur deux interpellations et mises en garde à vue », rappelle encore Bernard Germain.

    Le député révolutionnaire Louis-Antoine de Saint-Just, plus jeune élu à la Convention nationale et surnommé « L’archange de la Terreur », avait émis une sentence restée tristement (ou pas, selon affinité) célèbre : « Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté. »

    Élise Lucet passera-t-elle à la postérité, elle, pour sa conception très « spéciale » de l’équité ?

    Quant à l’audience de son émission, selon France 2, « le magazine, qui proposait notamment un sujet sur “La bataille de Callac” et une traversée du Panama avec des migrants, a informé 1,42 million de citoyens, soit 7,8 % du public et 6,9 % des FRDA-50 »… Tout de même ! diront certains. Oui, mais un score à peine supérieur à la série « Le mensonge » sur France 3 (7,3 %) ou même la prestation de l’humoriste Elodie Poux sur le syndrome du playmobil sur W09 (6,1 %), rétorqueront d’autres, plus facétieux.

    Moins d’un Français sur trois faisant confiance aux médias (rapport de l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme publiée en 2022) , « la France se trouve donc parmi ceux qui croient le moins les journalistes : elle est au 41e rang sur 46 dans le classement des pays qui font le plus confiance à la presse. »

    Allez savoir pourquoi !

    Philippe Randat