MACRON entraîne la France vers le pire : guerre raciale et conflit mondial

Prochaine étape : massacres de masse, instauration de la terreur pour chasser les Blancs des zones à conquérir. Cette fois-ci, ce sont les bâtiments publics, les commerces qui ont été incendiés et pillés. La prochaine fois, ils s’en prendront directement aux personnes. Ils renteront dans les maisons pour y mettre le feu, pour piller, pour violer, pour égorger. Bref ils tueront pour créer un climat de terreur afin de vider les zones à conquérir.

 La certitude du chaos. L’État français complètement failli n’est déjà plus en mesure de gérer une telle situation ni de nous protéger. Il ne faudra compter ni sur l’État, ni sur les services publics. La population blanche de souche sera abandonnée, totalement démunie de moyens de défense, laissée en déshérence.

Le fait est certain. Il est inscrit dans une trajectoire historique raisonnée depuis longtemps, voulue et déjà largement avancée. Macron a été choisi pour accélérer le processus. Seule la date et le rythme des événements restent inconnus.

Vers l’engagement de la France dans la guerre mondiale qui s’annonce.

Tout dans le comportement de cet immature mal fini indique qu’il se fantasme en chef de guerre. Pitrerie infantile lors de son premier 14 juillet où il s’est affiché voulant jouer à l’homme, juché sur le command-car qui l’attendait à la Grille du Coq. Éviction sur un caprice du général de Villiers. Pantalonnade sous divers déguisements et panoplies d’homme : d’aviateur, de sous-marinier etc. Références incessantes à la guerre lors de la crise du covid. ” le pays est en guerre “. État de guerre et ultra-violence d’état contre les Gilets jaunes. Mesures d’exception injustifiées, instauration d’un état de guerre pendant la crise du covid. Dérive totalitaire effrénée. Trépignements, gesticulations, provocations incessantes envers la Russie. Escalade au côté des pires va-t-en-guerre de l’Otan. Dernière folie : Macron vient de franchir une nouvelle ligne rouge en livrant à l’Ukraine des missiles français SCALP à longue portée qui permettront de frapper le territoire russe dans la profondeur. Dans le même temps, il nous a totalement désarmés et nous n’avons plus rien en cas de conflit majeur.

Alors oui, il y a tout lieu de penser que si rien ne vient l’arrêter, ce maniaque va nous précipiter dans un conflit mondial, doublé d’une guerre raciale sur le territoire national.

Une très inquiétante combinaison de mesures récentes. Conjointement à l’escalade dans le conflit mondial suggérée par les déclarations successives de Macron et nettement formulée par le chef d’état-major de l’armée, le pouvoir a pris une série de mesures combinées qui ne laissent rien présager de bon : recensement des biens vacants et loi autorisant la réquisition. Tout se passe en effet comme si tout devait arriver en même temps : guerre extérieure à l’Est accompagnée d’un afflux massif de réfugiés et guerre raciale sur le territoire national poussant les Blancs à fuir les villes.

La déclaration récemment imposée des biens fonciers et de leurs occupants, une mesure qui doit être lue en creux. En effet, tous les fichiers existent déjà au cadastre et l’administration fiscale sait déjà tout. Simplement, le pouvoir a décidé de procéder à un inventaire intégral à jour, non pas pour recenser les biens afin de les taxer, c’est déjà fait ; mais pour inventorier et cartographier les logements inoccupés. Et pourquoi identifier la masse foncière disponible, si ce n’est en prévision d’un afflux massif de nouveaux arrivants dépassant les apports de l’immigration courante ? Et si tel est le cas, dans quelles circonstances et suite à quel événement brutal, si ce n’est après une aggravation dramatique du conflit à l’Est ? Dans ces conditions, on est légitimement en droit de penser que ces mesures ont été prises pour anticiper un tsunami de réfugiés venus de pays ravagés par la guerre à l’Est de l’Europe, voire de France même. Donc oui, ce recensement imposé sans raison technique du point de vue fiscal semble bien avoir été fait en prévision d’un événement historique majeur et de déplacements massifs de populations auxquels le pays va devoir faire face. Il est très clair qu’avec ses stations touristiques de bord de mer, de montagne, avec les parcs hôteliers de Lourdes et d’autres villes touristiques, la France dispose de capacités d’accueil considérables.

La réquisition prévue dans la loi de programmation militaire, un très mauvais signal. La faculté que s’est donnée le pouvoir de tout réquisitionner sur simple décret ne laisse rien présager de bon. En particulier en cas de combinaison entre une guerre de haute intensité en Europe à laquelle nous serions mêlés et une insurrection afro-musulmane sur le sol français ; la première fournissant une opportunité exceptionnelle à la seconde en l’absence d’armée sur le territoire national. Dans ce cas, nous verrions un chaos généralisé combiné avec un afflux massif de réfugiés venus de l’étranger. Si cela devait arriver, vu son niveau de perversité, il n’est fort probable que l’État réquisitionnerait les résidences secondaires et les logements vacants pour y reloger des réfugiés étrangers en priorité par rapport aux nationaux obligés de fuir les villes en proie à la guerre raciale.

La décision de désarmer les Français, un autre très mauvais signe. Bien entendu, l’État s’est bien gardé d’aller chercher les armes de guerre dans les quartiers. En pratique, seule la classe moyenne blanche a été désarmée. Pour quelle raison sinon pour la priver de moyens de défense, voire de rébellion ?

Guerre raciale, guerre mondiale, afflux de migrants et de réfugiés, la pire combinaison. Ces trois manœuvres ont bien l’air de se combiner en prévision d’un avenir sombre et très certainement déjà décidé. La participation de la France à la guerre mondiale qui s’annonce nous dépouillerait du peu d’armée qu’il nous reste. L’absence de l’armée sur le territoire national ouvrirait une opportunité à la guerre de conquête afro-musulmane pilotée de l’étranger. Ce serait le pire scénario. Ce serait le triomphe du déséquilibré que les mondialistes ont placé à la tête du pays.

Quand un personnage, par sa seule présence, bloque toute issue et précipite le pays vers le chaos, alors tous les moyens sont légitimes pour l’écarter du pouvoir.

Martin Moisan