LE BLOG GALILÉE
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Politicaillerie
- By pierre75017
- On 11/08/2023
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Voici une bonne quinzaine de jours qu’on nous casse les pieds avec un soi-disant possible, éventuel… remaniement ministériel et le départ d’Elisabeth Borne. Bien évidemment, tout ce cirque médiatique nous fait franchement rigoler, car on ne voit vraiment pas en quoi le remplacement de la mère Borne changerait quelque chose au bordel ambiant. La France est placée aujourd’hui - elle n’est pas la seule – devant un no man’s land politique rarement atteint, une absence totale de perspective, même à moyen terme. Nous sommes face à un vide politique sidéral. Je regarde à gauche et cherche en vain un programme quelconque de défense du travailleur ? Rien. Je ne trouve rien si ce n’est les chamailleries de boutiquiers entre un mâle qui se veut dominant, Mélenchon, et ses concurrents les Roussel, Faure, Cazeneuve, Ruffin, j’en passe et des meilleurs, quand ce n’est pas de la pure concurrence interne, avec la pétroleuse Clémentine Autain. Donc, de ce côté-ci de la barrière, pas de souci réel à se faire pour un pouvoir qui n’en peut mais.
A droite – quelle droite ? – on a trois tendances tout aussi mollassonnes les unes que les autres. Passons rapidement sur toutes les nuances de gris que représente le Centre pour se diriger vers les Républicains qui se disent de droite. Paraît qu’il y a en son sein, les tenants d’un gaullisme social qui se voudrait de gauche et ceux qui se réclament d’un gaullisme de droite, version plus Pasqua que le désormais collabo Nicolas Sarkozy. Cette tendance véhiculée par Eric Ciotti et Olivier Marlex, et qui joue au poker, a balancé dans le Landerneau son projet de loi sur l’immigration un tantinet plus musclé que ce que l’on entend d’habitude. Sauf qu’une fois de plus, les factieux de gauche vont annuler ceux de droite. C’est sur ces divisions que compte le gouvernement pour sauver les meubles et continuer de gouverner à vue.
A droite de la droite, on trouve évidemment le Rassemblement national qui est au Front national ce que le MacDo est à la grande gastronomie. Un ersatz ! Mais qui jouit d’un petit monopole avec son rejet de l’immigration. Jusqu’à quel point ? Nonobstant, le RN a le vent en poupe parce qu’il fait figure d’unique parti réellement d’opposition. Que les Français en ont ras-le-bol de leur classe politique dans son entier qui ne cesse de les baratiner sur tout, les finances, le covid, l’immigration et qui ne font que constater que l’école, la justice et la police se barrent en sucette. Que la rue, à n’importe quelle heure de la journée, est un coupe gorge. Que la notion même de république et de laïcité est foulée au pied. Que la France n’est plus une et indivisible mais fractionnée en communautés. Et comme si cela ne suffisait pas, Bruxelles et sa soi-disant Union européenne en remet une louche dans la perte de notre souveraineté. Alors, côté moral, les Français l’ont plutôt dans les godasses. Et comme le rassemblement national est l’unique option jamais tentée… Voyez ce que je veux dire.
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La France vers le pire
- By pierre75017
- On 11/08/2023
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Escalade vers le conflit mondial, guerre raciale sur le sol de France, Macron veut la guerre totale et la destruction de la France.
Guerre raciale sur le territoire national.
Le contexte et les événements récents ne laissent plus aucun doute. C’est maintenant très clair, bien qu’incertaine quant à la date, la prochaine explosion de violence à partir des quartiers à majorité afro-musulmane sera générale. Elle touchera toutes les grandes villes, mais aussi les villes petites et moyennes où ont été délocalisées les populations allogènes surnuméraires des métropoles. Elle impliquera des centaines de milliers d’insurgés. Elle sera motivée par la haine raciale, la haine du Blanc, la volonté de nous détruire. Fait aggravant, l’insurrection sera attisée par les islamo-gauchistes et largement organisée et téléguidée de l’étranger. Enfin et c’est le pire, tous les signaux ont déjà été envoyés par le pouvoir macronien aux insurgés et à ceux qui les poussent, pour leur indiquer que rien ne viendra leur barrer la route.
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La France vers le pire
- By pierre75017
- On 22/07/2023
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Escalade vers le conflit mondial, guerre raciale sur le sol de France, Macron veut la guerre totale et la destruction de la France.
Guerre raciale sur le territoire national.
Le contexte et les événements récents ne laissent plus aucun doute. C’est maintenant très clair, bien qu’incertaine quant à la date, la prochaine explosion de violence à partir des quartiers à majorité afro-musulmane sera générale. Elle touchera toutes les grandes villes, mais aussi les villes petites et moyennes où ont été délocalisées les populations allogènes surnuméraires des métropoles. Elle impliquera des centaines de milliers d’insurgés. Elle sera motivée par la haine raciale, la haine du Blanc, la volonté de nous détruire. Fait aggravant, l’insurrection sera attisée par les islamo-gauchistes et largement organisée et téléguidée de l’étranger. Enfin et c’est le pire, tous les signaux ont déjà été envoyés par le pouvoir macronien aux insurgés et à ceux qui les poussent, pour leur indiquer que rien ne viendra leur barrer la route.
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MÉDECINE DES VILLES, MÉDECINE DES CHAMPS
- By pierre75017
- On 22/06/2023
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Que ce soit à travers l’image bien connue du cabinet de son médecin de famille, les murs blancs d’un box d’urgence, voire dans un grand hall en se rendant auprès d’un proche hospitalisé, nous avons tous une histoire personnelle et un rapport intime à la santé et aux soignants. Nous les voyons courir partout, se démener jour et nuit, brancarder, panser, écouter, soulager, rassurer, opérer, souvent avec les moyens du bord. Fussent-ils à peine suffisants. Ils vont jusqu’à s’oublier eux-mêmes et répondent toujours présents malgré l’absence de prise en compte de leurs plaintes, depuis plus de vingt ans. Rappelons ici, durant la première vague COVID, l’incroyable mobilisation d’infirmières, d’aides-soignants, de chirurgiens-dentistes, d’internes, des quatre coins du pays vers l’Ile-de-France pour venir prêter main forte, sans qu’aucun accord ne soit établi, par pur engagement.
Nous nous sommes longtemps targués d’avoir le plus beau système de santé du monde. La tournure est belle et rend hommage aux soignants. Est-elle vraie ? Posons-nous la question suivante : Préfèrerais-je me faire soigner dans un autre pays ? Serais-je plus heureux de tomber malade aux Etats-Unis ? En Egypte ? En Chine ? En Colombie ? Je crois que la réponse est évidente.
Pourtant, celui-ci est en souffrance. Jamais l’adage « les cordonniers sont les plus mal chaussés » n’a trouvé meilleure représentation.
D’une part, l’hôpital ouvre ses portes au tout-venant, même sans ressource, même sans papier, même violent, même agressif, sans poser la moindre limite, par une abnégation totale et se retrouve face à de plus en plus d’afflux. De plus en plus de demande, de besoin plus ou moins vital et plus ou moins urgent, de santé, de prise en charge sociale, de prise en charge psychologique. Face à cette augmentation, en parallèle et en contre-sens total, les ARS (Agences Régionales de Santé) demandent aux hôpitaux des "efforts ". Traduisons simplement ça par : « vous coûtez trop cher ». Ainsi, si une infirmière est capable de gérer dix patients, il est probable qu’on lui demande un jour d’en gérer douze, puis quatorze, et puis pourquoi pas vingt ?
Les aides-soignants, garants de l’hygiène de ceux qui ne peuvent plus sauvegarder eux-mêmes leur dignité, se retrouvent seuls à devoir faire des toilettes pour des étages entiers. Les médecins sont confrontés à des saturations de services. On nous a vendu l’idée selon laquelle plus d’administratif faciliterait la gestion. Au final, il manque de lit, de bras et d’humain. Pourtant ce n’est pas faute de dénoncer, de demander, de négocier, et ce dans l’intérêt du patient, toujours. Malheureusement l’achat de matériel, du plus gros IRM au plus petit lange, sur lequel tout le monde va se retrouver un jour d’ailleurs, passe par la soumission au budget. Il est évident que l’argent est précieux et ne doit pas être jeté par les fenêtres ni gaspillé. Ceci étant, comment justifier que quelqu’un reste sur un brancard pendant vingt-quatre heures sans même un drap ? Comment justifier de ne pas pouvoir hospitaliser quelqu’un par manque de lit disponible ?
N’oublions pas que, en pleine première vague COVID, le directeur de l’ARS du Grand Est avait fait circuler une note au CHU de Nancy réclamant des fermetures de lit. A cette période, pour rappel, les internes travaillaient non équipés et dormaient dans les couloirs des unités covid sur des matelas de fortune. Ce fameux directeur a été limogé en avril, pour autant son remplaçant ne va pas demander autre chose que plus d’efforts, donc moins de lits, moins de personnel, pour plus de malades. Si l’on ne fait rien, tout cela ne peut aboutir qu’à la disparition du système hospitalier public.
D’autre part la campagne avec ses maisons de santé et ses cabinets. Sont-ils épargnés du fléau de la suradministration ? C’eut été trop beau. Avoir une activité libérale, en France, en 2020, est un défi qui relève plus du sacerdoce que de la promenade de santé. La situation est commune pour les infirmières, les sages-femmes, les kinésithérapeutes et les médecins. Entre les contraintes administratives, la dégressivité des cotations d'acte et la forfaitisation des rémunérations, tout s'est progressivement, avec le temps, complexifié. Un médecin généraliste passe en moyenne une demie à une journée entière par semaine aux tâches administratives. Affublé du rôle de médecin traitant, il se retrouve à jongler entre toutes ses casquettes pour tantôt remplir un dossier d’aide sociale, tantôt coordonner un réseau de soin qui s’établit localement, tantôt jouer le rôle de médecin scolaire car ces derniers ont quasiment disparu, en parallèle d’une activité de soins qui ne diminue pas.
La nécessité d’un contrôle des abus, légitime, a malheureusement engendré un outil parfois trop lourd et trop chronophage. Les patients le remarquent : l’ordinateur est omniprésent et semble absorber leur interlocuteur. Ne pourrait-on pas envisager un système qui, tout en permettant un visuel sur les pratiques, prioriserait la relation soignant-soigné ? Ne serait-ce pas là un des moyens pour permettre de dégager du temps de soin supplémentaire ? Il semble que le système actuel prenne le pire du libéral et le pire du salariat. La précarité du libéral, illustrée par quatre-vingt-dix jours de carence, des charges importantes, se voit contraindre à une forme de lissage des pratiques, illustré notamment par les débats actuels rendus publics sur la liberté de prescription. Tout ceci constitue un frein évident aux installations et aux vocations.
Ainsi, qu’il s’agisse de l’hôpital ou du cabinet, en ville ou à la campagne, la suradministration entraine une saturation du temps du soignant, soustrait au temps de soin propre. La mélodie est la suivante : « Plus de temps dans les papiers, moins de temps à écouter. Plus de temps à remplir des cases, moins de temps à rassurer. Plus de temps à administrer, moins de temps à soigner ».
De fait, il est temps de revoir les priorités de la Santé et de replacer le soignant, celui qui soulève, celui qui nettoie, celui qui guérit, aux commandes.
Olivier K.
Médecin Généraliste
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ABCD
- By pierre75017
- On 22/06/2023
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Rudolf Diesel a failli perdre sa vie en inventant le moteur diesel !
Rudolf Diesel est un inventeur et ingénieur thermicien franco-allemand, il vient d'une fratrie de trois enfants, il est né à Paris, au 38e rue Notre-Dame-De-Nazareth le 18 Mars 1858.
Diesel a passé son enfance en France, mais à la suite du déclenchement de la guerre franco-prussienne en 1870, la famille est forcée de quitter le pays, et émigre à Londres.
Il est l'inventeur du moteur à combustion interne à allumage par compression qui aujourd'hui, porte son nom (moteur diesel). Le premier moteur du Dr. Diesel fonctionnait à la poussière de charbon et utilisait une pression de compression de 1500 psi pour accroître son efficience théorique.
● Anecdote sur l'invention de Diesel
Le moteur de Rudolf Diesel n’était pas prévu pour accueillir un quelconque système de refroidissement. Par conséquent, entre la pression extrême et l’absence de refroidissement, le moteur finit par exploser, tuant presque son inventeur. S’étant remis de ses blessures, Diesel essaya à nouveau d’utiliser du pétrole comme carburant, ajoutant une chemise d’eau autour du cylindre, et réduisant la pression de compression à approximativement 550 psi. Cette combinaison se révéla plus efficace.
Les droits de production du moteur furent vendus à Adolphus Bush, qui construisit les premiers moteurs diesel à usage commercial, les installant dans sa distillerie de St. Louis pour actionner diverses pompes.
Enfin, Rudolf Diesel disparaît mystérieusement en mer le 30 septembre 1913 à 55 ans alors qu'il traversait la mer du Nord à bord du paquebot Dresden, entre Anvers et Harwich, quelques mois avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale.