Le nouveau maire de Rouen est devenu fou ! fou !

Parmi les maires qui n'aiment pas la France, voici l'exemple de celui de Rouen ...

JAMAIS, JAMAIS, et de tout temps, on a vu des absurdités pareilles de la part d'élus français et en particulier de certains maires de communes qui font déshonneur à leurs fonctions.

Quelles que soient sa position politique et ses idées, un maire qui renie totalement l'Histoire de France et qui occulte totalement les grands hommes ayant construit la gloire de notre Päys, c'est INCONCEVABLE

Et Monsieur Mayer-Rossignol qui est issu du Corps des Mines en sa qualité d'ingénieur, censé être un homme intelligent et fréfléchi, semble avoir perdu la raison mpour envisager le rermplacement de la statue de Napoléon à cheval, par celle de l'ancienne avocate, Gisèle Halimi. Que le maire veuille rendre hommage à cette dernière, on peut facilement le comprendre en raisons des engagements de la célèbre militante féministe. Mais peut-on faire une comparaison entre Napoléon et Madame Halimi ?

Je ne voudrais pas être incon venant. Mais imaginez un maire qui voudrait remplacer la stature du général de Gaulle par celle de Coluche ... Qu'en penseriez-vous ? Même si Coluche reste inoubliable dcans nos cœurs ?

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Monsieur Mayer-Rossignol veut remplacer la statue de Napoléon par celle de la militante féministe Gisèle Halimi.

NAPOLÉON OU GISÈLE HALIMI

Thierry Lentz désapprouve également le choix de Gisèle Halimi comme potentielle remplaçante de Bonaparte sur le parvis de l’Hôtel de Ville : « Une honorable militante, certes, mais dont la carrière est aussi marquée de quelques points noirs, notamment pendant la guerre d’Algérie. Reste aussi à prouver en quoi Rouen doit particulièrement l’honorer. Quels services a-t-elle rendus à la ville ? Si l’on pose les mêmes questions concernant Napoléon, les réponses sont évidentes, presque éclatantes.

C’est sans doute pourquoi sa statue n’avait jamais posé de problèmes. » […]

Avant ce scrutin décisif, une consultation citoyenne démarrera lors des prochaines journées du patrimoine (les 18 et 19 septembre 2021). Elizabeth Labaye promet « des micro-trottoirs, des conférences, des visites de la ville, des ateliers ainsi que la constitution de groupes de travail en octobre et novembre avec des historiens » afin que les Rouennais, ou plus largement les habitants des 71 communes de la Métropole Rouen Normandie (selon le corps électoral qui sera retenu) puissent avoir « toutes les cartes en main » au moment de voter.

Ce programme ne rassure pas forcément les détracteurs du projet et Thierry Lentz s’inquiète déjà des différences de mobilisation dans les deux camps : « On sait très bien que, généralement, la majorité silencieuse ne voit pas l’intérêt de se déplacer ou de participer aux réunions, ce en quoi elle a d’ailleurs tort car c’est par petits pas que se dessinent toujours les projets globaux du type de ceux poursuivis par les rouges-roses-verts. En revanche, les militants se mobilisent et ne doutons pas un instant que le maire et ses soutiens appelleront à la mobilisation de leur camp. »

Marie Berrubé se méfie elle aussi. […] « Les Rouennais s’étaient exprimés pour la création d’espaces verts et ont finalement eu un immeuble de béton à la place (l’espace Claude Monet-Cathédrale, ndlr) ! »

Article précédent du 10/09/2020

Le maire de Rouen (Seine-Maritime), Nicolas Mayer-Rossignol, propose d’ouvrir un débat, sur le remplacement de la statue de Napoléon par une « figure féminine ».

Explications

La statue de Napoléon, à Rouen (Seine-Maritime), retrouvera-t-elle son piédestal place du Général-de-Gaulle, en face de l’hôtel de Ville ?

Fragilisée, la statue équestre de l’empereur est actuellement rénovation — et ce pour plusieurs mois — à Saint-Rémy-lès-Chevreuses (Yvelines). Nicolas Mayer-Rossignol, maire et président de la métropole de Rouen, veut profiter ce cette occasion pour ouvrir un débat sur le devenir de la statue et du lieu.

Son idée : installer la statue de Napoléon 1er autre part dans la ville, et ériger à la place une représentation de « figure féminine

« La question de l’égalité femmes/hommes est centrale et doit se traduire dans les actes : j’assume la portée symbolique de cette proposition », a souligné l’élu en question le jeudi 10 septembre 2020 lors de la présentation du programme des Journées du patrimoine et du matrimoine.

À propos de la « figure féminine » qui pourrait remplacer Napoléon, Nicolas Mayer-Rossignol a soufflé le nom de Gisèle Halimi, l’avocate, militante féministe et femme politique décédée en juillet.

Date de dernière mise à jour : 08/09/2021

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