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COMBATTRE LE TERRORISME

ATTENTAT de CONFLANS - Le terrorisme ne doit plus passer. Il doit être combattu et puni d'une manière exemplaire

En pareil cas, tout doit être mis en œuvre pour éradiquer le djihadisme et les doctrines qui s'y rattachent.

Partout en France, c'est la consternation. Un enseignant a été odieusement assassiné à la sortie de son collège, c'est-à-dire, dans l'exercice ces fonctons.

Le crime est immonde, et il n'y a pas un seul mot qui puisse définir exactement le caractère infect et sordide d'une pareille agression. 

En évidence, les hommages affluent en tout lieu et des manifestations sont prévues ced dimanche dans toute la France. Mais malheureusement, ce n'est pas ces rassemblements et ces moments de recueillement et de compassion qui vont changer le cours des évènements. Le gouvernement devra prendre très rapidement des mesures drastiques afin qu'une telle situation ne se répète plus jamais.

Il faut dire que l'État n'a jamais été à la hauteur des situations dramatiques que l'on connaît depuis 2015 avec les attentats de Paris et d'ailleurs. L'ancien président François Hollande n'a rien fait pour faire face au puissant terrorisme islamique. Quant à Emmanuel Macron, il n'a rien fait du tout  de son côté, sauf avec des mots et des paroles qui n'ont aucun sens, dans la mesure où elles ne sont pas suivies d'actions fortes et violentes envers les individus concernés.

? ? ? Qui était Samuel Paty ?

Père de famille, âgé de 47 ans et professeur au collège du Bois d'Aulne dans les Yvelines, il était très investi et enseignait la liberté d'expression à ses élèves en cours d'éducation civique.

Il a été tué ce vendredi 16 octobre à la sortie de son collège.

Ses élèves se souviennent de lui comme étant un professeur "à fond dans son métier", "qu'il aimait beaucoup".

Samuel Paty, enseignant d'histoire-géographie au collège du Bois d'Aulne à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) est mort ce vendredi 16 octobre, décapité à la sortie de son établissement par un jeune radicalisé de 18 ans. 

"Il voulait vraiment nous apprendre des choses.

De temps en temps, on faisait des débats, on parlait" a confié à l'AFP un de ses anciens élèves.

En effet il dispensait depuis plusieurs années à ses élèves un cours de "liberté d'expression" en éducation morale et civique (EMC).

C'est justement pendant un de ces cours qu'il a montré à ses élèves de 4e une des caricatures du prophète Mahomet publiées par Charlie Hebdo.

Chaque année il diffusait ces caricatures, mais cette année "ça a pris plus d'ampleur" affirme Virginie, 15 ans, qui l'a également eu pour professeur.

Cette fois, le père d'une élève publie un message sur les réseaux sociaux ainsi qu'une vidéo dans laquelle il qualifie le professeur de "voyou" et appelle à son renvoi.

Ce parent d'élève a porté plainte contre Samuel Paty,  qui a lui aussi déposé une plainte en diffamation contre le premier.

"Il était super gentil ce monsieur"

De l'aveu de Myriam, une de ses élèves, "il n'était pas dans son assiette depuis cette histoire".

Certains l'accusaient de racisme et d'islamophobie.

Pourtant, il avait réalisé en 2019 une exposition à partir des dessins de ses élèves sur les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité.

À l'AFP, le père d'un autre élève de 13 ans qui entamait sa deuxième année de cours avec M. Paty s'est exprimé en disant de Samuel Paty qu'"il était super gentil ce monsieur".

L'ASSASSINAT DE CONFLANS

??? Les mesures à prendre immédiatement après l'attentat de Conflans Sainte-Honorine

Après cet ignoble attentat qui ne vient s'ajouter qu'à tous les autres commis en France depuis 2015, le fgouvernement doit prende des dispositions rédicales envers tous les terroristes ou les apprentis terroristes qui veulent semer la terreur sur le sol français.

La peine capitale n'étant plus d'actualité, il faut donc trouver d'autres solutions pour punir les assassins.

Mais tout d'abord, il faut ernvisager la réforme du système éducatif qui incorpore des jeunes de banlieues ou d'ailleurs, lesquels n'ont aucune envie de s'intégrer aux valeurs de la République.

Réforme du fonctionnement à l'intérieur des écoles, collèges et lycées

A l'intérieur de tous les établissements scolaires, la laïcité doit imposer les règles qui lui sont propres, c'est-à-dire les principes de neutralité et l'absence totale des religions et des signes religieux qui s'y rattachent.

Les cours d'histoire, de français et d'éducation civique doivent être suivis par tous les élèves présents, quelle que soient leurs origines et leurs croyances.

L'enseignant est le seul maître à bord et, à la molindre incartade grave d'un élève, il doit le signaler immédiatement à la direction de l'établissement dont le rôle est de soutenir le professeur ou l'instituteur concernés. Le directeur de l'établissement en question doit de son côter saisir les services de police et le procureur de la République pour signaler les faits reprochés à l'élève perturbateur.

Dans les délais les plus brefs, une enquête doit être conduite par les policiers habilités et s'il s'avère que l'élève récalcitrant a commis un délit ou  a simplement tenté de commettre un acte d'une certaine gravité, l'individu mis en cause doit être exclu de l'établissement dont il dépend.

L'exclusion

Bien évidemment, l'exclusion doit s'accompagner d'une prise en charge par les pouvoirs publics afin d'apporter les solutions au problème constaté.

En pareil cas, l'élève est remis dans un établissement spécialisé, dit "collège d'éducation et de réinsertion" dans lequel des enseignants et éducateurs formés pour la réadaptation, vont prendre en charge les adolescents incriminés. 

Le but est de les rééduquer en faisant totalement abstraction de leurs origines et de leur culture : une rééducation à la "française" qui inclue les valeurs de la Nation et de la République, sans oublier les principes de moralité et de discipline.

Ce type d'établissement peut être également encadré par des militaires chargés d'une part, d'assurer la sécurité des lieux, et d'autre part, de garantir l'encadrement des adolescents en rééducation.

NB : Les propositions ci-dessus restent dans un état succint. Elles pourront être développées afin de les adapter à chaque situation envisagée.

??? Les peines encourues

En matière de terrorisme ou de situations assimilées au terrorisme, il est indispensable de créer un tribunal judiciaire spécialisé (Cour d'assises spéciale) pour les crimes liés au terrorisme.

Comment définir la notion de terrorisme ?

a) Il y a constatation d'un acte terroriste, dès que le délit ou le crime établi met en cause la sécurité de l'État et de ses agents ou simplement les valeurs fondamentales de la République.

b) personnes viées par les faits de terrorisme : personnalités politiques ou civiles, policiers, gendarmes, agents de la sécurité civile, pompiers, médecins, enseignants.

Quand les faits sont avérés et les coupables reconnus, les procès doivent être rapides. Il ne faut plus attendre plusieurs années pour procéder aux jugements et aux condamnations. Et c'est dont une juridiction spéciale dite "Cour du terrorisme" qui rend les jugements.

Mise en place des peines planchers

Partant du principe que les accusés ont droit systématiquement à un avocat pour leur défense, les mis en cause sont entendus d'une part, das un premier temps par les enquêteurs puis, dans un second temps et  très rapidement, par un juge anti terrorisme.

Dans les trois mois qui suivent les auditions (sauf cas d'exception), l'accusé (ou les accusés) sont renvoyés devant la Cour du terrorisme et les condamnations sont alors rendues en fonction des faits et actes qui leur sont reprochés.

Principe des condamnations

1./ pour les auteurs d'attentats terroristes

peine minimale : 20 ans de réclusion crfiminelle sans aucune remise de peine.

.Autres mesures variables en fonction de la gravité des cas  : 25 années de réclusion criminelle jusqu'à la prison à vie, sans aucune remise de peine possible;

2./ pour les complices d'attentats terroristes

peine minimale incompressible : 5 années de réclusion criminelle.

 Autres mesures variables en fonction de la gravité des cas  : 7 à 15 années de réclusion criminelle sans aucune remise de peine possible;

3./ Expulsions

En fonction des différents cas liés à chaque individu condamné, l'expulsion dans le pays d'origine est possible dans certaines conditions après l'accomplissement de la peine prononcée.

HOMMAGE à Samuel PATY, l'enseignant sauvagement assassiné dans ses fonctions

La présidente de l'Unef huée lors du rassemblement en hommage à Samuel Paty

Invitée à prendre la parole lors du rassemblement en hommage à Samuel Paty à Paris, la présidente de l'Unef, Mélanie Luce, s'est faite huer par une partie des manifestants. Le syndicat est au cœur de nombreuses polémiques depuis quelques années.

Des milliers de personnes sont venues témoigner leur solidarité après l'assassinat du professeur d'histoire géographie, Samuel Paty, le 18 octobre place de la République  à Paris. Un rassemblement auquel a participé la présidente du syndicat étudiant Unef, Mélanie Luce, invitée à prendre la parole pour l'occasion.

Mais sa prise de parole n'a pas été du goût de nombreux manifestants présents sur place, qui ont hué et sifflé la syndicaliste lorsqu'elle a pris le micro.

« Collabos », « dégagez », ont scandé certains, brandissant des journaux de Charlie Hebdo, obligeant un des organisateurs à demander « un peu de respect » pour la syndicaliste afin qu'elle puisse terminer son allocution.

Mais l'intervenante ne parviendra pas à terminer dans le calme.

Mélanie Luce a réagi sur Twitter, s'estimant « choquée » par la réaction des manifestants.

La syndicaliste rapporte par ailleurs avoir « reçu des menaces de mort ». « On me traite de collabo, les collabos, ce sont des gens qui ont collaboré avec le régime nazi pendant la Seconde Guerre mondiale » a-t-elle regretté. « Vous ne nous arrêtez pas, nous continuerons à parler, parce que si on était [à la manifestation], c'était pour exprimer quelque chose de fondamental, la solidarité dans la communauté éducative, dans la communauté universitaire », a conclu la militante.

Un syndicat sulfureux

L'Unef a régulièrement suscité la polémique par le passé.

Des députés LR et une élue LREM avaient ainsi quitté, le 17 septembre dernier, une audition de syndicalistes étudiants à l'Assemblée nationale autour du thème des effets de la crise du Covid-19 et la jeunesse, pour protester contre la présence d'une syndicaliste étudiante voilée, la vice-présidente de l'Unef, Maryam Pougetoux.

Le syndicat s'était aussi attiré de nombreuses critiques, en demandant, le 29 avril 2019, l'annulation de la représentation d'une pièce du dramaturge grec Eschyle à la Sorbonne car certaines comédiennes étaient maquillées de noir.

Plus tôt encore, l'Unef avait mis en ligne une vidéo à visée antiraciste qui avait provoqué un tollé.

On pouvait y voir des militants du syndicat clamer en chœur : « Je suis une personne "racisée" et je suis militant.e à l'Unef ». A cette occasion, l'écrivain Pierre Jourde avait qualifié l'organisation de « syndicat de talibans ».

Alors qu'au soir du 15 avril, la consternation dominait après l'incendie de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, deux responsables de l'organisation avaient suscité la colère de nombreux internautes en se moquant du drame.

Hafsa Askar, vice-présidente de l'Unef Lille, s'était ainsi empressée de tweeter un message : « Je m'en fiche de Notre-Dame-de-Paris car je m'en fiche de l'histoire de France.» Quatre minutes plus tard, elle ajoutait : « Jusqu’à les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vous aimez trop l'identité française alors qu'on s'en balek objectivement, c'est votre délire de petits blancs.»

Edouard Le Bert, membre du Bureau national de l'Unef, avait lui aussi ironisé sur la catastrophe dans laquelle il ne voyait qu'un feu dans un édifice lambda : « Ça y est, drame national, une charpente de cathédrale brûle.»

Interrogée par Le Figaro Mélanie Luce avait toutefois – après une première réaction ambigüe – souligné que les « positions » des deux membres n'étaient « pas celles de l’Unef », en décrivant des «propos inacceptables, sur le fond et sur la forme ». Un syndicat métamorphosé en dix ans.

Pourtant, le positionnement politique des cadres de l'Unef semble bien loin de la doctrine historique du syndicat.

Dans un billet d'août 2013, l'Unef était en effet elle-même vilipendée par le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), qui reprochait à l'organisation étudiante de faire un « amalgame paternaliste et ignorant entre voile et soumission de la femme ».

En cause, un communiqué de presse diffusé à l'époque par le syndicat étudiant après un rapport du Haut conseil à l'intégration sur la laïcité.

Dans ce dernier (qui a depuis disparu du site de l'Unef), le syndicat étudiant expliquait, tout en précisant que la laïcité ne devait pas être « la stigmatisation de l'islam », qu'il militait le port du voile « qui enferme les femmes dans une situation de soumission par rapport aux hommes ».

Le CCIF invitait alors les responsables du syndicat à « ouvrir quelques livres » et à discuter avec des femmes musulmanes « avant de faire de tels raccourcis »

PLACE DE LA RÉPUBLIQUE À PARIS

Un homme décapité à Conflans (Yvelines) : l'attentat envisagé, le suspect tué par la police

Un homme a été décapité dans les Yvelines, selon l'AFP, ce vendredi 16 octobre, dans l'après-midi. Les faits se seraient déroulés dans la commune de Conflans-Sainte-Honorine. Le suspect aurait été blessé par balles avant de succomber à ses blessures à Eragny-sur-Oise...

Les faits. Un homme aurait été décapité ce vendredi 16 octobre 2020, à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines (78). La victime a été découverte place René-Picard, dans le quartier des Hautes-Roches, vers 17h30 a indiqué le site Info 78actu dès vendredi soir, précisant une alerte de BFMTV et d'Europe 1, qui évoquaient initialement un meurtre par décapitation dans le Val d'Oise. L'auteur présumé du meurtre était toujours sur place, près d'un établissement scolaire, lors de l'intervention policière et aurait menacé les agents avec son arme. Il serait parvenu à prendre la fuite. Pris en chasse et retrouvé à Eragny-sur-Oise, dans le Val-d'Oise, quelques minutes plus tard, il aurait été blessé par balles par les policiers et aurait succombé à ses blessures. L'AFP a confirmé dans la soirée ce déroulé des faits. Plusieurs sites rapportent ce vendredi soir "une dizaine de coups de feu" entendus sur place, dans le quartier des Bergeronnettes.

La victimeOn en sait peu encore à ce stade sur la victime découverte à Conflans. Seule la barbarie du meurtre est soulignée. Plusieurs médias dont Le Monde et BFMTV évoquent une "décapitation" quand France Info mentionne une victime égorgée. Le Parisien indique pour sa part que la victime a été "atrocement mutilée". Le journal francilien ajoute que, selon les premiers éléments d'enquête, il s'agirait d'un professeur. "D'après nos informations, la victime avait récemment donné un cours à ses élèves sur la liberté d'expression et avait montré les caricatures de Mahomet", écrit encore Le Parisien.

Le suspect. Le suspect, dont on ignore à ce stade les motivations et le profil, aurait été armé d'un couteau et d'une arme à feu. "Un fusil à pompe" est évoqué. Selon le Parisien, il pourrait s'agir d'un parent d'élève du collège près duquel l'assassinat s'est déroulé.

Un attentat envisagé. Selon l'AFP, le parquet antiterroriste a annoncé être saisi ce vendredi soir. L'enquête a été ouverte pour "assassinat en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste criminelle", précise le PNAT. "La Sous-direction anti-terroriste (Sdat) de la police et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont été saisies", indiquent Le Monde et l'AFP. Selon BFMTV, Jean Castex est attendu sur place et le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, en déplacement au Maroc actuellement, rentrerait en urgence.

CONFLANS SAINTE HONORINE

Le séparatisme islamiste menaçant et vengeur par Noor Ammar Lamarty*

Ils veulent nous faire peur, ils le font tous les jours, ils s'intègrent dans les sociétés dans lesquelles nous vivons, dans cette Europe qu'ils diabolisent et nous imposent un modèle contraire d '"être un bon ou un bon musulman", ils nous racontent l'histoire comme cela leur convient avec un Islamisme politique, dépourvu de toute spiritualité, vicié, patriarcal, oppressif, violent, sexiste qui n'hésite pas à créer des stratégies de victimisation et à les diffuser pour que ce qui est important ne soit jamais parlé, afin qu'il récompense toujours le trait complexe d'infériorité d'être "différent «Dans une société qui veut les croire égaux. Ils utilisent la réalité du ghetto et du communautarisme résultant de politiques racistes et d'exclusion, pour créer des zones sans loi, des espaces sans droits ni possibilités de divergence.

 Ils nous disent qu'être «différent» c'est bien, que c'est le seul moyen de correspondre et de répondre à la foi, ils nous incitent à haïr la république, sa liberté, son égalité et sa fraternité, car ils soulignent que nous serons toujours des étrangers, qu'ici ils ne nous accepteront jamais, ils nous invitent à accepter une loi islamique millénaire, qui viole ouvertement les droits de l'homme, ils nous disent que c'est le seul moyen de trouver le chemin de la vérité. Et je dis qu'ils nous le disent parce que ceux d'entre nous qui ont certains noms et prénoms font partie de ce ghetto et de cette communauté dans laquelle ceux d'entre nous qui parlent des droits des femmes, de l'autonomie reproductive, du pouvoir sur notre sexualité, ou de la liberté de religion ou d'expression, sont mauvais, pécheurs. et les sorcières à brûler sur le bûcher. Nous avons le malheur de ne pas nous soumettre à l'oppression, en demandant pardon d'être née femme. C'est nous qui ne cédons pas au chantage psychologique et émotionnel constant.

BASILIQUE NOTRE DAME A NICE

Ils nous font chanter avec nos origines, nos noms, nos noms, leur ignorance considère que nous ne sommes personne sans leurs dogmes, sans leur haine des autres, sans leur diabolisation de toute forme de liberté. Ou que nous ne sommes que des sorcières à traquer et à faire taire.

Ils n'acceptent ni notre foi, ni notre foi modérée, ni notre non-foi. Ils nous signalent que nous sommes violés, parce que nous sommes féministes, athées, musulmans modernes, athées, blasphémateurs ou simplement libres-penseurs, en général, pour être libres. Notre esprit critique les ronge, gâche leur projet d'homogénéiser une population pour l'endoctriner et la mettre au service d'intérêts politiques extérieurs.

Ils veulent que nous ayons honte de ce que nous faisons, de nos dénonciations des crimes d'honneur, des mariages mineurs, des violences de quartier contre les femmes, de l'imposition du voile et de la pression perpétuée par la société.

Ils ne peuvent pas supporter que nous gâchions leur mythe du "relativisme culturel" par lequel pendant des années ils ont été autorisés à rester en dehors de la loi, ils ont été autorisés à être "des organisations anti-républicaines, pro terroristes, anti laïcité".

L'islamisme politique, salafiste et non salafiste, s'est ancré parmi les musulmans de troisième génération comme graphiquement on le voit en France, pour réinventer leur identité de musulmans, pour les convaincre qu'il ne s'agit pas d'une question de foi, c'est une question politique, c'est une question. d'intolérance envers ceux qui ne partagent pas ce que nous partageons, et envers ceux qui se réclament de nos principes. Ils ont expliqué que la seule façon d'être quelqu'un, d'avoir une place dans le monde, dans la société et dans le pays, est de se redéfinir avec l'extrémisme qu'ils proposent.

C'est une dictature politico-religieuse avec la force d'associations de toutes sortes, qui n'a jamais eu la volonté de sortir les jeunes du chômage, de la criminalité, des quartiers violents et hostiles, mais qui a utilisé des jeunes, des femmes et des hommes. , Musulmans et musulmans, ex-chrétiens et ex-athées pour en faire les soldats religieux de l'intolérance, en assurant la sécurité de l'oppression et des dogmes imposés, afin que personne ne crie trop fort et avec elle ils puissent remettre en question le eux-mêmes, de sorte que le silence de la peur est ce qui permet sa croissance exponentielle et son influence massive.

Ils les assassinent et les décapitent pour nous montrer l'étendue de leur force brute, leur violence inspirée par la haine, la rage et le rejet. Ils l'ont fait aux portes d'une cathédrale le jour de la naissance du prophète, non pour venger ses caricatures, mais pour menacer les fidèles d'autres confessions, pour nous menacer de purification religieuse comme en leur temps les terroristes de l'État islamique l'ont fait, pour soumettre à craindre les musulmans modérés, les chrétiens catholiques et les juifs, afin que nous nous taisions tous et leur permettions de continuer à perpétuer leur haine et leur violence dans leurs communautés fermées

Le séparatisme islamiste, ce faisant, a montré son vrai visage. Ce n'est pas un visage de paix, d'amour ou de mensonge qu'ils veulent tellement se faufiler dans les messages extérieurs, se faisant passer pour des musulmans modérés qu'ils veulent vivre dans une société laïque et dans une république avec des droits.

Le séparatisme islamiste, ce faisant, a montré son vrai visage. Ce n'est pas un visage de paix, d'amour ou de mensonge qu'ils veulent tellement se faufiler dans les messages extérieurs, se faisant passer pour des musulmans modérés qu'ils veulent vivre dans une société laïque et dans une république avec des droits.
Son vrai visage est celui de la haine et de la violence
Je demande juste.
Puissent-ils ne jamais nous faire taire. S'il vous plait.
Qu'ils n'enlèvent pas ce qui nous a coûté tant de temps, d'efforts, de sang et de ténacité.
La liberté n'est pas discutable, elle nous appartient de droit.
Nous avons tous une obligation morale de combattre ceux qui le nient, quels qu'ils soient, quelle que soit leur religion.

*Noor Ammar Lamarty est chercheur en droit spécialisée dans les dossiers islamiques.

Droit public et pénal international / Coopération internationale.

Ses spécialités : l'identité des jeunes migrants, la protection de l'enfance et l'éducation sociale sur les droits des filles, sur les mariages précoces, sur les femmes dans les sociétés musulmanes, comme aussi sur l'islamophobie, sur la sexualité des femmes dans la société arabe,  etc ...

Attentat à Nice : trois morts, autre attaque à Avignon

NICE. Au moins 3 personnes sont mortes suite à une attaque au couteau survenue ce jeudi dans la basilique Notre-Dame de l'Assomption de Nice. Une femme a été violemment égorgée. Une autre attaque est survenue à Avignon ce matin.

- Une attaque au couteau à Nice : C'est le scénario d'un nouvel attentat qui semble se profiler à Nice ce jeudi 29 octobre 2020. Un homme a attaqué au couteau plusieurs personnes, vers 9 heures ce matin, au sein de la basilique Notre-Dame de l'Assomption, en plein centre de la ville. Les polices nationales et municipales sont intervenues et l'auteur des faits a été rapidement interpellé. Une sécurisation des lieux de culte est en cours dans toute la ville. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a ouvert une cellule de crise. Emmanuel Macron s'est rendu sur place, à Nice.

- Une autre attaque au couteau à Avignon :  Europe 1, Le Figaro et France Bleu indiquent qu'un individu a tenté d'attaquer des policiers avec une arme de poing ce matin vers 11h15 à Avignon, dans le quartier de Montfavet. Impossible pour l'heure d'établir un lien entre les deux événements, Midi Libre indique même que la piste de l'attentat n'est pas privilégiée par la police. L'assaillant a été tué par les agents de police.

- Un bilan de 3 morts à Nice. L'AFP chiffre le bilan à trois morts, citant une "source gouvernementale". Un bilan avancé également par plusieurs médias dont BFMTV, le Parisien, le Figaro et Nice Matin. Deux femmes auraient perdu la vie ainsi qu'un homme selon Le Figaro.

- Les victimes de Nice, une femme égorgée.  On en sait encore peu sur les victimes. Plusieurs médias évoquaient ce matin "une femme décapitée" dont le corps "a été retrouvé dans l'église". Le maire de Nice a confirmé que cette personne âgée de 70 ans, avait été brutalement égorgée. Une deuxième victime aurait "perdu la vie dans la rue, alors qu'elle cherchait à se réfugier dans un café voisin", indique le Figaro. La troisième serait un homme, le gardien de l'église, selon le maire de Nice.

- L'auteur de l'attaque de Nice interpellé.  "L'assaillant a été interpellé 10 minutes plus tard par la police, qui a dû ouvrir le feu pour le maîtriser", indique Europe 1. Il aurait été blessé lors de son interpellation, ajoute France Info et serait selon le député des Alpes Maritimes Eric Ciotti "en urgence absolue (et) transporté à l’hôpital Pasteur". Le profil de l'assaillant est encore flou, mais l'hypothèse de l'islamiste radical est avancée. "L'auteur n'a pas arrêté de répéter Allahou Akbar devant nous au moment où il était médicalisé", a indiqué le maire de Nice Christian Estrosi devant les caméras.

- L'attentat privilégié à Nice.  La piste de l'attentat dans un lieu de culte, avec un mode opératoire proche de l'assassinat de Samuel Paty le 16 octobre dernier, est donc privilégiée. Alors qu'il achevait un discours sur la situation sanitaire à l'Assemblée, le Premier ministre Jean Castex a demandé une minute de silence. Le président de l'Assemblée Richard Ferrand a d'ores et déjà mentionné "un attentat d'une gravité extrême". C'est aussi ce que le député des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, a évoqué en parlant d'une "attaque terroriste" à la sortie du Palais Bourbon. Christian Estrosi a déclaré que Nice "était de nouveau victime de victime de l'islamo-fascisme". Preuve que la nature de l'attaque fait peu de doutes, le parquet national antiterroriste a été saisi pour "assassinat en lien avec une organisation terroriste". Le plan Vigipirate est porté au niveau "urgence attentat sur l'ensemble du territoire".

- Un lieu de culte visé. Notre-Dame de Nice, achevée en 1868, est la plus grande église de la ville de Nice. Elle est située sur l'avenue Jean-Médecin, en plein coeur de la cité azuréenne. Elle a été classée comme basilique en 1978. En plus des premiers indices, c'est donc un lieu de culte qui semble avoir été visé par l'auteur de l'attaque.

BASILIQUE NOTRE DAME A NICE

 

● Sophie Petronin, l'otage qui affectionne les jihadistes

De nombreux citoyens ont jugé indignes les déclarations de la vieille femme libérée

Sources : article de Célina Pina - Causeur

Sophie Petronin a déclaré: « Je vais prier, implorer les bénédictions et la miséricorde d’Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c’est Mariam que vous avez devant vous ». Pour obtenir la libération de cette curieuse otage, qui a-t-on relâché au Mali ? Et quelle somme a-t-on payé? Retenue quatre ans, Sophie Petronin ne veut voir dans ses ravisseurs que des groupes d’opposition au régime. Après ses premières déclarations, son retour laisse un goût amer.

Qu’un fils soit heureux de retrouver sa mère se comprend parfaitement et on aurait aimé partager ce bonheur en tant que peuple.

Petite fille, je me souviens des journaux télévisés d’Antenne 2 (nom de France 2 à l’époque) où tous les jours le nom des otages français au Liban et leur durée de détention ouvraient la grand-messe du 20h00, et je me souviens encore de la joie ressentie à leur libération.

J’aurais aimé éprouver aujourd’hui ce même sentiment d’avoir retrouvé une compatriote perdue. Or ce n’est pas ce qui se passe et nombre de Français se demandent si un tel otage valait la peine de tant d’efforts au vu de son comportement indécent. La réponse est pourtant oui : c’est la gloire d’une nation que d’estimer qu’elle a à sauver les siens, même les plus malavisés et les moins reconnaissants.

Le président français n’a tout de même pas de chance.

Le retour d’un otage est en général du pain béni pour un politique, un moment de communion avec les Français qui voient leur dirigeant en sauveur de leur compatriote, donc en homme qui réalise la promesse de protection du peuple inscrite dans sa fonction.

À ce titre l’émouvant retour d’une vieille dame, otage durant quatre ans au Mali, aurait dû être un moment heureux pour notre Nation. Sauf que l’otage en question a de quoi mettre très mal à l’aise.

200 djihadistes en échange de notre Tatie Danielle de la prise d’otages?

Enlevée par un groupe dénommé « Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans », dans les faits un mouvement terroriste lié à Al Quaïda, Sophie Petronin, otage tout juste libérée, refuse de les qualifier de jihadistes, paraît être à deux doigts de leur tresser des louanges et n’a pas un mot de remerciements pour la France.

Pourtant sa libération pourrait bien nous avoir coûté des millions en rançon, lesquels serviront à acheter armes et munitions et à causer les massacres qui font les pays, misérables, et les orphelins, nombreux.

Mais surtout, pour assurer son retour, 200 jihadistes ont été libérés qui à leur tour massacreront, tueront, pilleront et violeront, mettant encore plus en danger la vie de nos soldats qui les combattent sur le terrain.

Certes ces questions se posent dès qu’un otage est libéré. On sait que les négociations avec les ravisseurs déboucheront sur une rançon qui leur servira à poursuivre des buts criminels et on ne peut rendre les otages coupables de ces faits.

Sauf quand ceux-ci font tout pour se faire enlever et soutiennent plus les assassins en les transformant en combattant de la liberté, que ceux qui ont risqué leur vie pour les délivrer.

Sophie Petronin en redemanderait presque

La femme dont il est ici question a déjà été enlevée et s’est obstinée à retourner dans cet endroit, le plus dangereux du secteur, alors que la seule question qui se posait n’était pas si elle allait être enlevée, mais quand cela allait se produire.

Cette personne, qui se met en scène en diva et en pasionaria de l’humanitaire, n’est en fait qu’une exaltée qui se moque des conséquences de ses actes.

Elle se prend pour une grande âme, mais n’a en fait contribué qu’à accroitre le malheur du Mali.

Entre l’argent qu’elle aura indirectement fourni aux assassins islamistes et ses œuvres humanitaires, le bilan risque d’être cruel. Il est probable qu’elle aura finalement plus aidé à semer la mort qu’à sauver des vies.

Son irresponsabilité sème le malheur, mais elle ne le voit même pas et a l’air de vouloir continuer à mettre les autres en danger pour pouvoir se raconter en héroïne humanitaire.

Pourtant certains cadres jihadistes, auteurs d’attentats à Bamako et à Byblos, comme le mauritanien Fawaz Ould Ahmed ont été relâchés pour le plus grand malheur de la population du Mali et de nos soldats.

Qu’elle ne veuille pas en être consciente est humain : elle n’a pas voulu soutenir consciemment le financement d’Al Quaïda au Mali et il arrive, hélas, que les conséquences de nos actions nous éloignent de notre but initial, bien que nos intentions soient louables.

C’est l’histoire de l’enfer pavé de bonnes intentions. Ce qui est critiquable, c’est qu’elle ait tout fait pour que cela arrive.

Elle gagnerait à regarder cela en face au lieu de nous présenter la captivité comme une longue séance de méditation, une forme de retraite spirituelle où l’on vit au bon air et où l’on mange et on boit bien.

Quant à ses ravisseurs, qu’elle présente comme un groupe d’opposition, ils seront ravis de voir leur propre otage les exonérer de tous leurs crimes. Les autres otages apprécieront aussi le discours de Mme Petronin : si être enlevé est l’équivalent d’une séance de médiation prolongé, pourquoi dépenser des fortunes pour sauver des otages à qui l’on offre une occasion exceptionnelle de goûter au lâcher-prise, si on en croit le discours de cette dame ?

Cerise sur le gâteau, alors qu’elle devrait s’interroger sur le fait que sa volonté d’aider n’a abouti qu’à ajouter sa pierre à elle aux malheurs du monde, elle trouve judicieux d’expliquer encore qu’elle va repartir. 

Je n’achète pas cette émotion factice

Une telle inconscience est sidérante, mais ce n’est pas le pire. Ce qui est vraiment choquant, c’est de soutenir Al Quaïda en refusant de les qualifier de jihadistes. Or cette femme n’ignore aucun des méfaits des groupes terroristes au Mali.

Cette phrase-là est impardonnable. Dommage que l’on essaie de nous vendre de l’émotion préfabriquée autour de cette femme, et que nombre de médias fassent semblant de ne pas entendre le discours gênant de cet otage. Un otage qui gagnerait à se taire ou à apprendre à dire simplement « merci » et « pardon ».

Ceci étant dit, quand on est otage, on n’est pas sauvé en fonction de son mérite, mais parce que le pays a un devoir envers ses citoyens. Et c’est toujours un honneur de le remplir. Dommage que ce ne soit pas la beauté de ce geste qui soit mise en avant.

Céline PIna

SOPHIE PETRONIN

Date de dernière mise à jour : 09/01/2021

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