Mais de qui se moque le recteur de la Grande Mosquée de Paris ?

Grande mosquée de Paris : le recteur pris dans une tempête autour de la  certification des produits halal

Ce que j’écris est une histoire  factuelle qui m’est arrivée. Samedi  vers 17 h, 21 juin 2025, je m’apprêtai à m’asseoir sur un banc public dans un parc de la région parisienne. Au même moment, une femme voilée  voulait, elle aussi, se reposer sur le même banc. Elle me regarda en hésitant si comme ma présence la gênait. Je devinai alors que je ne devais pas m’asseoir à ses côtés. Elle souhaitait apparemment prendre possession de ce banc public, en un mot le privatiser. J’ai supposé qu’elle croyait être prioritaire du fait de sa religion de paix et d’amour. Je l’invitai à s’asseoir en lui disant que nous sommes en France et pas encore en Arabie saoudite. Elle me toisa d’un regard qui en disait long. Puis, elle se leva en grommelant quelques mots que je n’ai pas compris avant de s’en aller.

Cette voilée semble vouloir dire sans détour aux Français : « Poussez-vous, car la France, désormais, m’appartient, que vous le vouliez ou non : je suis chez moi. J’y suis, j’y reste et si vous n’êtes pas contents, vous n’avez qu’à émigrer ».

Cette histoire est la preuve que l’islam est en conquête ouverte en France mais le peuple français et ceux qui sont censés le représenter regardent ailleurs.

Pendant que l’islam attaque, le recteur de la Grande Mosquée pleurniche sur le sort des musulmans de France en faisant la tournée des plateaux de télévisions pour débiter ses mensonges face aux journalistes de la bien-pensance qui rajoutent une couche à ses lamentations de sainte-nitouche effarouchée.

Pour le recteur de la Grande Mosquée de Paris, les musulmans de France sont en danger de mort. Personnellement, si je suis en danger dans un lieu, je prendrai la tangente sans regarder derrière moi.

Mais de qui se moque, M. Hafiz avec ces incantations islamiques connues depuis la nuit des temps ?  

Dans sa phraséologie bien ajustée, il se moque  des Français, ces  naufragés de l’histoire qui ne savent pas d’où ils viennent et où ils vont.

En bon cavalier d’Allah, M. Hafiz joue la comédie pour ingurgiter d’un trait  le Français, ce dindon de la farce qui ne comprend pas ce qui lui  tombe sur la tête.

Si réellement les musulmans sont en danger de mort, pourquoi continuent-ils, même au péril de leur vie, à vouloir s’installer dans ce vieux pays qu’est la France, qui leur offre  le gîte et le couvert au nom de la fraternité humaine, au détriment de ses propres enfants.

La France n’est-elle pas devenue une mère qui tue ses enfants pour élever ceux des autres ?

M. Hafiz ignore-t-il que cette semaine une vingtaine de harragas (clandestins) algériens ont accosté à Palma de Majorque ? 

Jusqu’à preuve du contraire, les îles Baléares restent encore un pays chrétien. À moins que…

Cette question est posée au recteur de la Grande Mosquée de Paris :

Pourquoi les harragas continuent-ils à vouloir s’installer en France pour y assurer un « avenir islamique radieux » à leurs rejetons ? D’ailleurs, ils disent en foulant le territoire français: « N’khadmoum taouil » (comprendre : je vais trouver de meilleures conditions de vie en France).

Il y a un air de schizophrénie sciemment entretenue dans sa démarche. Car en tant que « musulman », je n’irais jamais m’établir dans un pays qui est raciste et qui me maltraite. Au contraire, j’irais camper aux portes d’un pays islamique, généreux et tolérant, où il fait bon de vivre pour respirer l’oxygène d’Allah, car je n’aime pas l’air nauséabond des mécréants.  

Dans son ouvrage : Défaire les ombres. Islam, République et exigence de vérité (éditions Albouraq), le recteur de la Grande Mosquée fait de la provocation en désignant les Français comme étant des racistes qui n’aiment pas les musulmans. Il y déplore la stigmatisation persistante dont seraient victimes les fidèles de l’islam. Il y défend aussi la laïcité quand cela arrange ses affaires islamiques. Il y désigne comme coupable  la République qui ne défend pas assez l’islam. Derrière sa sortie se cache une revendication : celle qui consiste à vouloir interdire le blasphème au pays de Voltaire pour faciliter sa conquête. La critique de l’islam l’indispose et met parfois des freins à l’invasion islamique.

M. Hafiz est dans la manipulation comme tout mahométan formaté par la dissimulation (taqîya). Il espère, avec ce livre, faire réagir les pleureuses professionnelles de l’islamo-gauchisme qui vont sonner le tocsin de la discrimination et le « pas d’amalgame » prendra le relais.

Si les musulmans sont en danger de mort, pourquoi n’entament-ils pas leur ré-émigration ? Ce qui serait logique et conforme aux préceptes de l’islam. Chiche qu’ils le fassent !

Cette question lui est adressée personnellement.

Malheureusement pour M. le recteur de la Grande Mosquée de Paris, les musulmans installés en France ne voudraient jamais perdre les bienfaits de l’assistanat des kouffars (logements sociaux des HLM, CAF, APL, RSA et les aides sociales à l’infini). Il suffit de savoir arnaquer l’administration pour en bénéficier. Et c’est simple d’en profiter en trichant et en faisant l’éternel discriminé… La triche des allocs est un sport national en France. L’ignore-t-il ?

Un peu de décence avec un peu de dignité et surtout avec un peu de reconnaissance du ventre feraient du bien aux  adorateurs de la Pierre Noire qui se lamentent à longueur d’année sur leur sort en France.

À la place de M Hafiz, je conseillerai  aux mahométans de quitter la France et surtout de ne pas y venir, car elle est  peuplée de racistes et d’islamophobes comme il le dit si bien. Mais il n’osera jamais le faire. Il sait qu’aucun musulman au monde ne le prendra au sérieux. Il ne fait que de la communication et de la surenchère pour exister. Et surtout, il pratique un djihad de basse intensité, presque sans bruit, pour étaler la vaseline de la dhimmitude.

M. Hafiz, qui prétend défendre la laïcité, plaide dans ce livre pour que les valeurs (la charia) de l’islam  soient tolérées en France. Pourquoi ces valeurs  islamiques ne seraient-elles pas inscrites en marbre dans la Constitution française ? Car pour le moment, en  France, c’est open bar et tout ce qui rentre fait ventre. Cet état d’esprit français, M. Hafiz le connaît bien, et c’est pour cette raison qu’il professe, toute honte bue, le misérabilisme de l’islamophobie dans le but de gratter encore plus de droits et de ressources pour les mahométans.

Il tente de faire passer le message que l’islam est une religion de paix et d’amour en se basant sur le concept de la houdna (paix momentanée) conformément au traité de Houdaybiya. Selon la tradition islamique, c’est un traité signé entre Mahomet et les Mecquois en 628. Il permet à Mahomet et ses fidèles de se rendre en pèlerinage à la Mecque durant trois jours et pendant 10 ans. Mais l’année suivante Mahomet brisa ce traité. Et en  630, il conquit la Mecque par l’épée. M. Hafiz désire la soumission des Français sans combat.

Le procès d’islamophobie intenté à la France par M. Hafiz s’inscrit dans cette logique mahométane : réclamer toujours plus d’avantages jusqu’à épuiser l’ennemi.

C’est par le grignotage permanent que l’islam avance ses pions.

Il ne déroge pas au concept islamique qui dit : « Baise la main que tu ne peux pas couper en attendant l’opportunité de la briser ». Ce concept valable dans le temps et l’espace a été écrit par le poète persan musulman du Xe siècle, Abu Shakour ayant vécu à Balkh – actuelle ville de Mazar-i-Sharif, située au nord-ouest de l’Afghanistan.

Attaquer le premier est une spécialité mahométane. D’ailleurs, Mahomet a dit que la guerre est une ruse.

M. Hafiz oublie de dire que l’islam est basé sur le mensonge et l’ignorance qui sont sacralisés pour entuber les mécréants et notamment les idiots utiles français qui croient encore aux balivernes islamiques.  

Pour rafraîchir les neurones  de M. Hafiz, Allah a dit dans  le verset 28 de la sourate : « Ô vous qui croyez ! Les associateurs (juifs et chrétiens) ne sont qu’impureté (saleté-pourriture) : qu’ils ne s’approchent plus de la Mosquée sacrée (Jérusalem), après cette année-ci. Et si vous redoutez une pénurie, Allah vous enrichira, s’Il veut, de par Sa grâce. Car Allah est Omniscient et Sage ».

Pourquoi  ne dénonce-t-il pas ce verset ouvertement raciste ?

Mais chut, il ne faut rien dire, car c’est Allah qui parle et sa parole est incréée, valable jusqu’à la fin des temps.

Pourquoi, lui un homme de lois (un avocat), ne condamne-t-il pas les atrocités commises par l’islam contre les chrétiens dans le monde arabo-islamique ? 

Même dans son pays, l’Algérie, les chrétiens évangéliques, pourtant citoyens à part entière, sont poursuivis, envoyés en prison et leurs églises fermées, parce qu’ils ont décidé de changer de religion.

Cette semaine, plus de 200 chrétiens ont été lâchement assassinés au Nigeria par les cavaliers d’Allah.

Mais où est passé M. Hafiz, lui, l’homme de paix ?

Encore cette semaine, un kamikaze islamique s’est explosé dans une église (église Saint-Élie) en plein cœur de Damas  (Syrie), tuant 20 chrétiens et faisant une centaine de blessés. Tous chrétiens !

Mais où sont-elles passées, les condamnations, même du bout des lèvres, de maître Hafiz, lui, l’homme de dialogue et du consensus  à sens unique ?

Il est vrai que pour M. Hafiz, les musulmans sont les anoblis d’Allah, et de ce fait, leurs actions barbares ne sont que les recommandations d’Allah, par conséquent, elles ne sont pas condamnables. Au contraire, il faut applaudir ces exploits du djihad.

Les chrétiens restent les cibles préférées des cavaliers d’Allah à travers le monde. Ces derniers savent que le pape les a abandonnés au profit de la défense des anoblis d’Allah. Il ne leur reste que les yeux pour pleurer en attendant le couteau islamique.  

Pourquoi, M. Hafiz n’a-t-il jamais condamné  les agressions sexuelles contre les femmes françaises, dont la plupart sont commises par les cavaliers d’Allah ?

« Par des barbares » comme dit M. Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur et des Cultes.

Mais la réponse de Hafiz est connue : ces agresseurs sont des déviants, ils ne représentent pas l’islam.

Depuis quand les a-t-il excommuniés ? Est-il compétent pour le faire du point de vue du fiqh ? Mille fois non. Même le grand mufti, le vénérable cheikh Tayeb d’Al-Azhar n’aura  pas le courage de pondre une fatwa pour les exclure de la oumma.

Les saâliks (les premiers soldats de Mahomet, selon la tradition islamique), ça ne lui pas parle pas. Au début de l’islam, quand la mécréance régnait où tout était permis, Mahomet avait besoin de combattants et pour les besoins de l’islam, il  avait engagé des bandits en leur promettant le sexe, ici-bas et dans l’au-delà. M. Hafiz semble oublier ces événements rapportés par la tradition islamique. Est-il devenu subitement amnésique ?

Il sait que l’islam est en conquête et c’est pour cette raison qu’il reste muet comme une carpe.

Il ose dire que les musulmans sont en danger de mort et pourtant, ce sont eux qui agressent pour le moment les non musulmans. Il feint d’oublier les statistiques officielles de la délinquance. Mais pour lui, l’essentiel est de dégainer le premier.

Dans son intime conviction islamique, il est persuadé que les musulmans restent la meilleure des communautés qu’Allah a créées en se basant sur le verset 110 de la sourate 3 : « Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes. Vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers ».

Car selon le Coran, les musulmans sont des êtres humains moralement supérieurs aux autres. Allah les a envoyés pour gouverner le monde. Et à travers les âges, ils ont montré leur tolérance. Ils n’ont jamais colonisé, jamais violé les femmes des autres, jamais volé, jamais égorgé, jamais pratiqué l’esclavage durant 12 siècles. Ils sont des anges d’Allah, pourvus de qualités humaines supérieures, prompts à aider la veuve et l’orphelin.

Comme d’habitude, Hafiz ne changera pas de discours, ne déviera d’un iota de l’idéologie criminelle islamique. Il dira comme tout bon musulman qui se respecte que la France pullule d’islamophobes qui n’aiment pas les adorateurs de la Kaaba. Il détourne le réel à son profit pour lancer des jérémiades dans le seul but  de cacher la vraie nature de l’islam, une religion basée sur la haine, le viol, la barbarie, la conquête par le sabre, les razzias, le mensonge sacralisé, l’ignorance sacrée, l’insulte permanente et le racisme.

M. Hafiz a le droit de mentir pour légitimer l’invasion islamique de la France face à une classe politique devenue le paillasson de l’islam.

Du moment que le président Macron, ce Jupiter en carton, est l’allié objectif de l’islam conquérant, M. Hafiz ne fait qu’étaler au grand jour ses revendications mahométanes.

A-t-il pensé un instant de se remettre en cause et qu’il est en train de faire fausse route en incriminant les autres avant de se regarder dans un miroir ?

Hamdane Ammar

Date de dernière mise à jour : 24/06/2025

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