
Ce mercredi, Jordan Bardella annonce, sur X, que « le siège du Rassemblement national - y compris les bureaux de ses dirigeants - font l’objet d’une perquisition menée par une vingtaine de policiers de la Brigade financière ».
Il dit ne pas connaître « précisément les griefs qui en sont le fondement ».
Cette perquisition succède à l’accusation du Parlement européen portant sur la mise en place d’un système jugé illégal du RN pour financer des associations.
« Jamais un parti d’opposition n’a subi un tel acharnement sous la Ve République », déclare le président du parti.
La Rédaction