La gauche hurle à chaque fois que nous alertons sur une parenté évidente entre le nazisme et l’islamisme.

Les dignitaires allemands avec le recteur de la Mosquée de Paris
Pourtant, au regard de ce qui se passe actuellement avec les manifestations de décérébrés propalestiniens, au mieux d’incultes en histoire, nous pouvons en revenant aux sources du nazisme et de l’islamisme leur trouver de nombreux points communs.
Si l’islam a 1400 ans, on peut dire que l’islamisme est bien la même affaire de bédouins à l’origine. Celui d’un prétendu Mahomet dont nul document, nulle trace ne prouve qu’il aurait vraiment existé.
Hormis des témoignages oraux de contemporains de l’époque durant plus de 150 ans. C’est l’histoire de l’homme qui aurait vu l’ours et qui, au fil d’un tel à un tel, a abouti 150 ans plus tard à un imam s’appelant Bukhari (810-870) qui écrivit sa chronique sur Mahomet (570-632) qu’aucun musulman sunnite n’osera qualifier de fables – au mieux – sinon ce serait la mort pour apostasie.
Ce sont les fameux hadiths, la Sunna, enseignés dans les écoles coraniques et qui sont la base de la charia. Se souvenir que selon les hadiths, Mahomet s’est marié à une gamine de six ans, l’a violée à neuf ans, et c’est devenu au fil des siècles une loi juste en terre d’islam qui est acceptée par l’Irak ou le Yémen, par exemple.
Comme l’islam était de nature violente, conquérante, esclavagiste, destructrice de nations et de cultures durant ses avancées guerrières de l’époque, qu’il a envahi la Perse, tout le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, l’Asie, une partie de l’Afrique et de l’Espagne Wisigothe, ainsi que la France jusqu’à Poitiers, il a été regardé par Hitler comme une religion de combat digne de respect, d’autant plus que l’islam est foncièrement raciste, antisémite, mais pas seulement. (Sourate 2 verset 165) (Sourate 5 verset 60).
La part que l’islam a prise dans les armées d’Hitler est un secret de polichinelle. Ainsi que l’admiration qu’avaient Himmler et Hitler pour cette soldatesque considérée comme importante.
Ce sont environ 175 000 soldats musulmans qui combattirent pour les nazis. Ce n’est pas une broutille. C’est l’ami islamiste Hajj Amin al-Husseini, grand-mufti de Jérusalem, qui organisa et favorisa ses militaires de WaffenSS islamistes.
C’est Hermann von Keyserling (1880-1946) qui disait : « Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. »
C’est le grand Mufti de Jérusalem, Hajj Amin al-Husseini qui affirmait en 1943, que les nazis sont les meilleurs amis de l’islam. Il était l’oncle d’Arafat !
C’est Heinrich Himmler (1900-1945) qui disait : « Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille : bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »
Si tout cela ne suffisait pas à comprendre les liens puissants entre l’islam et le nazisme, il y a des propos imparables et factuels d’Adolf Hitler qui rejoignent la haine du christianisme de Jean-Luc Mélenchon.
« Le Christianisme est bien quelque chose de fade. Nous aurions bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l’héroïsme : le combattant seul a le septième ciel ! Les Germains auraient avec cela conquis le monde, ce n’est que par le Christianisme que nous en avons été tenus éloignés. »
Vous avez cette déclaration de Carl-Gustav Jung (1875-1961) :
« La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée. »
Les liens et les approches sont évidents et nous le voyons bien à travers les actions de l’extrême-gauche qui ne fait que ressusciter le NSDAP (Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands). Un parti politique des années 1920, que nos manuels scolaires sous contrôle – et Wikipédia – s’entêtent à qualifier d’extrême-droite.
En France, nous savons ce qu’est l’extrême-droite. Elle est certes antisémite, anti-parlementaire, et refuse aussi, selon les chapelles, la République. Dans les années 1920, elle était aussi royaliste pour l’autorité, l’ordre, et elle refusait donc le désordre.
Il n’y a plus rien de tout cela dans les partis français de droite nationale. Sauf de refuser le désordre sans doute.
Ce n’est pas le cas de l’extrême gauche. On a pu le constater à l’Assemblée nationale. On le voit dans les rues avec leurs amis antifas qui utilisent les méthodes des SA de Ernest Röhm dans les années trente en Allemagne. On le constate également, chaque jour, dans le soutien au Hamas terroriste islamiste et les manifestations.
Ce sont bien les mêmes méthodes que les nazis ont utilisées en Allemagne en détruisant les magasins, en semant la terreur dans les rues, en faisant la chasse aux Juifs.
Ce qui a permis cela en France, c’est la défaite de la culture, de l’instruction publique, le défaut de l’apprentissage du roman national, et surtout la complicité des élites de la gauche bien-pensante, dite humaniste. Celles artistiques, journalistiques et universitaires qui ont profité de l’abaissement intellectuel et culturel du politique.
Le nazislamisme se nourrit du néant, comme l’islam se nourrit du manque de réflexion de ces croyants incapables de comprendre qu’ils croient en réalité à un bédouin du VIIe siècle dont on ignore s’il a existé vraiment mais dont on dit qu’il est avide de richesse, esclavagiste (sourate 4 verset 3), misogyne (sourate 3 verset 223, 2 verset 282, 4 verset 11), pédophile, et j’en passe.
Le nazislamisme politique d’extrême-gauche trouve dans la violence politique une façon de déclarer la guerre au capitalisme et au religieux.
Au nom de l’athéisme, il pratique une violence contre les Juifs, responsables à leurs yeux de tout ce qui va mal dans nos sociétés. Il pratique le faisons table rase du passé pour mieux bâtir un monde dont nous avons déjà vécu les dégâts sous les différentes révolutions françaises, russes et chinoises.
Leurs jeunes idiots utiles sont incapables de comprendre ce jeu de dupes qui finira comme en Iran. C’est l’islam qui aura leur peau et fera fusiller ou pendre ses opposants, y compris et surtout ceux de l’extrême-gauche.
Ce qui est catastrophique, c’est le niveau de nos politiciens de droite comme Retailleau qui refuse l’union des droites, la main tendue par le RN, pour des raisons personnelles ! Où est donc l’intérêt de la France, sa grandeur ?
Gérard Brazon
Récapitulatif
1939–1940 – Premiers contacts et propagande indirecte
Début de la propagande allemande en arabe et en persan via Radio Zeesen (Berlin). L’Allemagne
cherche à exploiter les sentiments anticoloniaux en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Les
premiers agents sont envoyés en Syrie, Irak et Égypte.
1941 – Tournant oriental et alliance religieuse
Invasion de l’URSS (juin 1941) : contact avec des populations musulmanes d’Asie centrale et du
Caucase. Création des premières Ostlegionen (Turkestan, Idel-Ural). Soulèvement pro-allemand
en Irak mené par Rachid Ali al-Gillani et soutenu par le mufti Hadj Amin al-Husseini, qui rejoint
ensuite Berlin.
1942 – Propagande panislamique
Fondation de l’ »Islamische Zentralinstitut » à Berlin. Rencontres d’Husseini avec Hitler et Himmler. Début de la propagande religieuse organisée appelant à la lutte contre les Alliés.
1943 – Création des grandes unités musulmanes
Naissance de la 13■ division SS ‘Handschar’ (Bosniaques musulmans) et de la 21■ ‘Skanderbeg’
(Albanais). Expansion des légions orientales (Turkestan, Caucase, Azerbaïdjan). Formation de la
« Free Arabian Legion » pour les volontaires arabes en Tunisie et en Grèce.
1944 – Déclin militaire et maintien de la propagande
Les divisions musulmanes combattent dans les Balkans et en Italie. Les désertions augmentent,
mais la propagande religieuse se poursuit via Radio Zeesen. Des imams militaires sont encore
recrutés pour encadrer les troupes.
1945 – Effondrement et dispersion
Dissolution ou capture des unités musulmanes. Le mufti al-Husseini s’enfuit vers la Suisse puis la
France. Les archives allemandes sur l’islam deviennent une source d’étude majeure pour les Alliés.