Benjamin Stora pleurniche suite aux légitimes attaques de Jean-Pierre Lledo

Pour cette fin d’année, l’histoire la plus drôle de 2024 : le combat (sur CAUSEUR) entre le Trotskiste Benjamin Stora et le communiste Jean-Pierre Lledo. Le premier réclamant un droit de réponse contre les diffamations du second, en date du 26 décembre.

Les accusations formulées contre lui ont meurtri Benjamin Stora. Et qui l’accuse ? Je vous le donne en mille : Jean-Pierre Lledo, qui l’attaque également, paraît-il, sur Riposte Laïque. Une nouvelle guerre des gauches.

Ce qui me paraît bizarre, c’est que Benjamin Stora ne s’est jamais inquiété de mes attaques contre lui, également sur Riposte Laïque. Sans doute ne trouve-t-il rien à répondre parce qu’elles expriment une réalité qu’il ne peut contredire.

Sa défense est ridicule, notamment quand il affirme qu’il aurait été le premier historien à signaler l’horrible massacre de Melouza (plus de 300 habitants, la quasi-totalité du village, femmes, enfants, vieillards et même animaux domestiques, égorgés, découpés, décapités parce qu’ils refusaient de rejoindre les bandes terroristes de l’ALN et du FLN). Bien avant lui nous en avions informé les Français et cela à plusieurs reprises.

En revanche, nous pouvons lui rappeler d’autres massacres dont apparemment il n’a pas eu connaissance, ou qui ne l’intéressent pas, car ils ne concernent que des Européens et Français d’Algérie, par exemple celui d’El-Alia.

Stora signale également qu’il aurait réclamé une demande d’excuses au président de la République pour le massacre d’Européens le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, et des excuses également pour le massacre des Harkis à la même époque. Belle blague, comme s’il était nécessaire que Stora les réclame pour que des excuses soient décidées alors que, depuis plus de soixante ans, nous les exigeons.

Benjamin Stora, nous vous connaissons bien mieux pour vos campagnes réclamant la reconnaissance des crimes commis par l’armée française sur Maurice Audin (ce traître français), Ali Boumendjel et Larbi Ben M’hidi (ces ennemis de notre pays) et en cette occasion la présidence de la République vous a servilement suivi.

Apparemment, seules les attaques de l’extrême gauche vous blessent. Il est vrai que toutes celles que pourraient vous porter les vrais Pieds-Noirs, depuis des décennies, sont si nombreuses que vous seriez depuis longtemps touché/coulé.

Manuel Gomez