
Le pacte pour la Méditerranée vient d’être prononcé à Bruxelles ce 16 octobre 2025 par Wanted lahyène présidente de la Commission européenne de Bruxelles.
Erasmus était à l’origine un programme universitaire d’échanges entre étudiants européens. Vingt ans plus tard, et depuis ce 16 oct. 25, il s’élargit aux pays de Maghreb et du Proche-Orient. Algérie, Égypte, Jordanie… Les études supérieures coûtent cher en France bien que les frais d’inscriptions pour les étudiants européens soient subventionnés. Selon le diplôme préparé (licence, master, doctorat), les frais d’inscriptions se montent entre 178 et 628 euros/an. Les étudiants, hors espace européen, paient des frais d’inscriptions plus élevés allant de 2900 à 3950 euros, mais aidés et subventionnés. Ces frais d’inscriptions peuvent être plus élevés dans les établissements privés.
Cependant, les étudiants qui viennent étudier en France dans le cadre d’un partenariat entre universités bénéficient d’une exonération totale des droits d’inscription. Notamment dans le cadre du programme Erasmus. Le coût annuel, pour les contribuables français, des étudiants étrangers en France atteint le milliard d’euros, dont 220 millions pour les seules APL. Sarah Knafo s’en offusque. Tebboune s’en réjouit. Boualem Sansal se morfond.
Les institutions publiques et le programme Erasmus offrent de nombreuses bourses, de toutes sortes, aux étudiants étrangers pour les aider à financer leurs études en France et en Europe.
On constatera en toute neutralité que la discrimination positive va bon train, par l’entrain de ce lien.
On serait tenté d’ajouter que beaucoup d’étudiants choisissent de rester et ainsi valider cette filière d’immigration voilée. Parmi elle, combien d’islamistes, faux étudiants de vrais réseaux dormants ?
En parlant d’Europe, chemin faisant, j’ai le souvenir d’avoir déchiré et renvoyé ma carte de militant au siège de l’UMP après avoir appris que le député européen, Alain Lamassoure, élu de Pau, après Sciences Po, et ÉNARQUE de son état, devenu depuis, à l’âge de 81 ans, maître à la Cour des comptes. Ma démission de ce parti, ressentie comme une traîtrise, s’est encore confirmée de nos jours avec les LR. Sous le règne de Sarkozy, ce député européen français recevait le 13/7/2010 à Bruxelles le 1er ministre palestinien, Salam FAYYAD, et sa délégation, pour faire du lobbying et mendier une augmentation de la subvention européenne à la Palestine. Cette délégation venait de frapper à la bonne porte.
Ce lobbying séduit toujours l’oligarchie européenne et son idéologie orientée. On le voit sur la vidéo en anglais et en français ci-dessous. La délégation est repartie satisfaite, les poches pleines, le sourire aux lèvres. La fin de cette vidéo est un témoignage hors pair de cet élu.
L’aide à la Palestine (sic) : dit A. Lamassoure, est devenue le premier budget européen. Nous sommes en juillet 2010. On sait ce qu’il advint de cette gabegie européenne, anti-israélienne. SVP, Mr Lama-sourd, combien de kilomètres de tunnels sous Gaza ville, et combien d’achats d’armes pour le Hamas, vous et l’UE avez ainsi subventionnés ? Surtout dormez-bien ! Vous n’êtes concerné par rien !
EU – Palestine: extracts from the exchange of views with Salam FAYYAD, Palestinian Prime Minister, and press point with Alain Lamassoure (PPE, FR), Chair of the Budgets Committee – Multimedia
Centre https://multimedia.europarl.europa.eu/de/video/eu-palestine-extracts-from-the-exchange-of-views-with-salam-fayyad-palestinian-prime-minister-and-press-point-with-alain-lamassoure-ppe-fr-chair-of-the-budgets-committee_ebs71799
Brave homme, bien au chaud, bien rémunéré encore à 81 ans en qualité d’auditeur à la Cour des comptes, au service aussi irremplaçable qu’indispensable. Aussi, je vous conseille de méditer sur vos agissements à l’UE en 2010 et aussi sur vos trahisons envers les militants UMP qui vous avaient élu pour les représenter à l’UE, dont moi. Alors, M. Lamassoure, on distribue généreusement pour la Palestine l’argent des Européens, mais aussi des Français. On augmente comme jamais les subventions d’un groupe terroriste, sans aucune vérification. Et on s’endort tranquillement, sans regret, sans remords. Responsable mais pas coupable. Quand l’heure sera venue, les familles des victimes du 7 octobre en Israël et de tous les jeunes soldats tombés pour rie, viendront orner votre tombe par de nombreux souvenirs qui vous rappelleront les conséquences réelles de vos choix et de vos soutiens. Des conséquences que vous emporterez au paradis ou en en enfer, selon le jugement du divin. Or, si j’avais ce pouvoir divin, personnellement je choisirais l’enfer pour vous ! Vous y retrouveriez certainement le génial Jean-Paul Sartre.
Poursuivons en quelques lignes à propos de l’Europe
Votre maison comporte bien sûr des murs, des fenêtres et une porte. Votre cour d’immeuble ou jardin est ceinturé par un mur, une grille, un portail, une barrière avec digicode ou bip. Appelons-ça vos dernières frontières domestiques intérieures. Retenez que quand cette dernière frontière physique « intérieure » aura sauté, votre souveraineté aura disparu, diluée dans le mondialisme fédéral. Aucun retour en arrière ne sera alors possible.
Durant le Covid 19, on est passé de l’espace sans frontière de Schengen à la frontière sans espace du confinement obligatoire pour tous. Le confinement et le masque furent nos dernières frontières, rappelle Philippe de Villiers dans Mémoricide.
L’idéologie sans frontiérisme des instances mondiales a fini par convaincre Chirac, Balladur, Bayrou, Moscovici, Juppé, et tous les européistes et maastrichtiens convaincus du bien-fondé de l’ouverture à tous vents de l’Europe. Tous juraient mordicus que les frontières de Schengen seraient protégées et qu’ils seraient intraitables. De même ceux qui disent renforcer les soins palliatifs pour la vie, de la main droite, mais distribuent, en même temps, de la main gauche, les seringues de la mort. Fallait oser, et pourtant ils l’ont fait !
Tous plaidaient pour l’ouverture et, avec elle, la disparition des protections des hommes et des marchandises. Pourquoi ceux-là vivent-ils dans des zones ultra-sécurisées, protégées par des gardiens cerbères, auxquels il faut montrer patte blanche ? Tous rêvaient d’un immense marché planétaire, débarrassé de toutes les barrières, de tous les blocages pour y dérouler le tapis de la nouvelle religion du monde : celle de sa marchandisation. Détrompez-vous, les frontières n’ont pas disparu, elles se sont justes déplacées jusqu’à la porte de votre domicile. Pour le moment ! …
Cette marchandisation du monde, voulue par ces utopistes maastrichtiens, a conduit non seulement à la circulation de millions de migrants diversitaires sur tout l’espace européen. Mais pas seulement, contraints d’assister impuissants au transfert libre de la drogue depuis le port de Rotterdam, dans des milliers de containers incontrôlés et incontrôlables vers toutes les villes et villages d’Europe. Ce transfert se joue des frontières mais, avec les fruits de la prostitution mondialisée, il alimente les réseaux terroristes islamistes pour le futur djihad. Depuis les ports d’Anvers et Rotterdam, 200 tonnes de cocaïne transitent en toute impunité. On dénombre 600.000 usagers de la cocaïne, dont celui d’une vidéo virale qui a fait le tour du monde dans un train, entre 2 sachets blancs disparaissant vite dans la poche.
En France, la drogue circule librement dans nos prisons, dans des zones de non-droit, et dans des quartiers devenus des Kosovo à la française. Pour les narcotrafiquants, une sorte d’état parallèle, une contre-société s’est mise en place avec ses fournisseurs, ses commanditaires, ses consommateurs. On estime aujourd’hui que 240.000 personnes vivent du trafic de stupéfiants. Trois mille points de deal alimentent 5 millions de consommateurs de cannabis pour un chiffre d’affaires de 6 milliards d’euros. C’est la toge des juges qui décidera en guise de douane qui dirige l’État de droit.
Drieu la Rochelle, antisémite notoire, disait : « Les nations c’est terminé, et le temps des patries est fini ». Avec de telles idées, antipatriotes, pas étonnant que les derniers murs de protection des Européens soient tombés sous la pression de Jean Monnet (la taupe américaine), de Schuman et de Schengen.
Alors, quand la France croulera sous le narcomicide, et deviendra un narco-État, ce sera le point de départ de la prospérité des narcotrafiquants. Une prospérité liée à la banalisation de la consommation et à la faillite des valeurs de la France des Lumières. La drogue se répand dans toutes les couches sociales, faisant des dégâts considérables. Cette drogue est même livrée à domicile par les scooters de clandestins ayant répondu à l’appel du patronat et des restaurateurs, se plaignant que leurs métiers en tension ne trouvent plus de main-d’œuvre. Une main-d’œuvre arrivée à pic pour mieux nous remplacer dans le projet de grand remplacement européen. S’agit-il d’un fléau ou d’une guerre ? L’un ou l’autre, plutôt les deux à la fois.
Mais qui aura le courage de se lever pour empêcher que ne sonne l’heure de la faillite de la France ?
Patrick Granville