Créer un site internet

La dette abyssale nous mène au chaos, lequel portera les islamo-gauchistes au pouvoir

Jean-Luc Mélenchon porte plainte contre Alain Jakubowicz qui l'a comparé à  Goebbels, “criminel antisémite”

Tous les pays d’Europe ont diminué leur dette et leur déficit. Tous, sauf la France qui s’enfonce de jour en jour, refusant obstinément de tailler dans les dépenses. Les remèdes pour redresser nos finances sont connus mais la peur de la rue paralyse l’Élysée et Matignon, plus soucieux de conserver leur fromage que de sauver le pays de la faillite inéluctable qui se profile. L’extrême gauche reste en embuscade et n’attend que cela pour s’imposer. Il est inutile d’espérer jouer encore la montre.

Depuis plus de vingt ans, la dette reste le dernier souci des gouvernants, qui ne la traitent qu’en paroles tout en augmentant les dépenses, systématiquement  financées par l’emprunt perpétuel. C’est une gouvernance de droite comme de gauche totalement suicidaire, qui va nous conduire à un chaos incontrôlable et porter les islamo-gauchistes au pouvoir.

Écartés dans les urnes, c’est la rue qui leur donnera les clés de l’Élysée.

Les pieds nickelés au pouvoir depuis des lustres ont perdu depuis bien longtemps le contrôle de la dette et de l’immigration de masse, les deux fléaux qui vont tout emporter.

3 400 milliards de dette à supporter, avec 152 milliards de déficit public en 2023, 169 milliards en 2024 et sans doute 200 milliards en 2025. En cinq ans, la dette a augmenté de plus de 900 milliards. Et c’est la France qui emprunte désormais au taux le plus élevé d’Europe.

Le coût de cette gestion de cigale ? 50 milliards d’intérêts en 2023, 60 milliards en 2024 et 70 milliards en 2025, en route vers les 100 milliards d’intérêts annuels, soit plus de 3 % du PIB alors que la croissance n’est que de 0,5 %. 

Quelle société pourrait survivre à une telle gabegie, une telle irresponsabilité, un tel je-m’en-foutisme ?

Les 40 milliards d’économie que souhaite Bayrou ne représentent que le quart du déficit annuel. De la broutille. D’autant plus que ce gouvernement ne s’attaque pas à la ruineuse immigration qui n’enrichit que quelques patrons mais reste à charge du contribuable avec un déficit de PIB de plus de 100 milliards.

Oui, l’immigration de déshérités non qualifiés nous coûte trois points de PIB chaque année. Elle est responsable de l’essentiel de notre dette abyssale.

https://ripostelaique.com/bayrou-va-saigner-les-francais-sans-oser-toucher-a-limmigration.html

Par conséquent, la crise de la dette est imminente après des années de lâcheté et de refus obstiné de remettre en cause l’État providence, si généraux avec toute la planète. Fait unique au monde, un  sans-papiers est mieux soigné qu’un citoyen français qui travaille et cotise.

Jusqu’à ce jour, les agences de notation se sont montrées extrêmement bienveillantes à l’égard de Macron, le chouchou des mondialistes. Notre note souveraine est surévaluée, mais cela ne durera pas car une faillite de la France plomberait durablement la survie de l’euro. Ni le FMI, ni la BCE, ni Bruxelles ne peuvent accepter ce risque.

Si la France refuse un véritable budget de sauvetage de nos finances et se contente d’un rafistolage pour simplement durer jusqu’en 2027 en évitant la censure, le verdict des marchés sera sévère.

La Grèce a été sauvée en 2010 par un remède de cheval sans précédent. Mais c’était la Grèce. La France, quant à elle, avec une gauche radicale qui rêve d’en finir avec la Ve République et une mouvance islamiste qui attend son heure, connaîtra un destin bien plus violent et tragique. Mais à vrai dire, tout le monde s’en fiche.

Élus et peuple ne réaliseront l’ampleur du désastre que lorsque le PIB s’effondrera, que les retraites et les salaires seront divisés par deux et que le chômage aura triplé. C’est cela le régime grec.

Quant aux violences de la rue, elles seront alimentées par l’extrême gauche et les conflits interconfessionnels, menace bien réelle que le pouvoir craint par dessus tout mais glisse lâchement sous le tapis depuis toujours. Plus dur sera le réveil !

La dette, c’est comme l’immigration, on ne s’y intéresse que si ses conséquences nous touchent directement. C’est-à-dire quand il est trop tard…

Jacques Guillemain 

Date de dernière mise à jour : 02/08/2025

2 votes. Moyenne 4 sur 5.
×