
Dans un silence médiatique français complice de la mafia algérienne au pouvoir – une mafia par ailleurs incapable de faire vivre dignement son peuple, occupée qu’elle est à détourner des milliards sur des comptes offshore –, ce pays que la France a créé de toute pièce n’en finit pas de nous injurier.
Entre nos ressortissants arbitrairement incarcérés, leurs ressortissants qui pourrissent, pour une part appréciable, notre quotidien, leurs exigences de repentance permanente à sens unique – oubliant les dévastations perpétrées par les hordes barbaresques de jadis qui motivèrent jusqu’à la jeune nation américaine pour aller bombarder les côtes de ce pays de pirates islamiques, au début du XIXe siècle, lors des deux guerres barbaresques –, les humiliations multiples et variées qui nous sont infligées par cette nation devenue stérile, la coupe n’est même plus pleine : elle déborde de partout.
Dernière sortie en date du pouvoir corrompu algérien, les députés de cet insupportable pays – qu’on peut aisément qualifier d’ennemi – ont examiné un projet de loi visant à criminaliser la colonisation française, avec demandes de réparations matérielles. Autrement dit, l’engeance algérienne, non contente de nous piller, notamment via ses ressortissants – lesquels refusent toute assimilation et assassinent les nôtres à l’occasion : voir la créature qui a tué la petite Lola ou le terroriste de Mulhouse en février dernier –, entend nous rançonner tout en oubliant ses propres crimes. Et ce, sans aucune protestation vigoureuse de la part de nos dirigeants qui rampent depuis des années devant les fantoches d’Alger que nous pourrions pourtant faire plier par la force si nous en avions la volonté. Mais n’est pas Donald Trump qui veut.
Ainsi : « L’Algérie s’apprête à franchir une nouvelle étape dans la reconnaissance de son passé colonial. Le parlement national a programmé des sessions plénières pour examiner un projet de loi visant à qualifier le colonialisme français de crime contre l’humanité. Cette initiative intervient après plusieurs tentatives infructueuses depuis 2001, traduisant la volonté du pays de codifier juridiquement la mémoire de la période coloniale. La discussion est prévue au parlement les 20, 21 et 24 décembre 2025. » Quid des massacres autochtones d’avant la colonisation et pendant et après, perpétrés par ces enragés bouffis de haine passéiste et impuissants à construire quoi que ce soit ? Là-dessus ils sont plutôt discrets : pas d’amalgame je vous prie ! Parce que nous n’y sommes pas allés pour leur pétrole ou leur gaz, à l’époque les chevaux carburaient plus au foin qu’au super sans plomb ! Nous sommes allés là-bas pour mettre un terme aux razzias barbaresques sur les côtes méditerranéennes. Et nous avons construit un pays qui n’existait pas.
https://www.msn.com/fr-xl/politique/gouvernement/le-projet-de-loi-criminalisant-la-colonisation-examin%C3%A9-par-les-d%C3%A9put%C3%A9s-alg%C3%A9riens/ar-AA1SKvtG
Car sans la France, que serait l’Algérie au juste, incapable d’extraire les richesses de son sous-sol sans le recours à nos ingénieurs et techniciens, incapable de proposer une médecine moderne à son peuple, incapable enfin de construire quoi que ce soit de viable et ne survivant que grâce à la haine de la France ? Car l’Algérie, précisément grâce à ses ressources, vit sur un immense tas d’or mais qui ne profite qu’à une élite de sangsues. Ce n’est donc pas la France qui la pille, comme veulent le faire croire des collabos de chez nous, tel Benjamin Stora, mais bel et bien ses dirigeants, quitte à me répéter, histoire que – l’espoir fait vivre ! – cela rentre dans les têtes.
Eh quoi, allons-nous supporter ad vitam aeternam ces injonctions de repentance et ces exigences de réparations. Réparer quoi au juste ? Le fait d’avoir apporté un semblant de civilisation à des individus obéissant jusqu’à notre arrivée à des règles cruelles et rétrogrades ? Sans nous, l’Algérie en serait aujourd’hui au niveau d’Haïti.
Cependant, et au lieu de se prendre en main comme l’a fait le Vietnam après des années d’une guerre dévastatrice, l’Algérie pleurniche, ce qui lui évite de faire son examen de conscience. Le pire, dans tout cela, c’est que la France macroniste serait bien capable de payer une énième fois, comme elle paye les soins des poussahs avachis du pouvoir algériens lorsqu’ils viennent se faire soigner en France sans jamais régler la note.
Le maréchal Lyautey avait jadis compris le gouffre entre cette terre aride et d’autres pays de la région, déclarant ceci : « Alors que nous nous sommes trouvés en Algérie en face d’une véritable poussière, d’un état de choses inorganique, où seul le pouvoir constitué était celui du dey turc effondré dès notre venue, au Maroc, au contraire, nous nous sommes trouvés en face d’un empire historique et indépendant. » Et il est vrai que le Maroc nous pose nettement moins de problèmes que cette Algérie insupportable, outrancière et injurieuse à notre endroit. Une Algérie qui, si nous faisions les comptes, nous devrait bien plus de réparations que nous à son égard.
Si je ne craignais pas les juges et avocats traîtres à la France, je dirais que l’Algérie est un déchet non recyclable, mais je me contenterai de dire qu’elle est un boulet, et il serait grand temps de scier la chaîne qui nous retient à lui…
Charles Demassieux