INERNATIONAL - Devant l’islam, nous sommes déjà couchés et ne le savons pas…

En écoutant Philippe de Villiers ce soir sur CNews, on apprend des faits… qu’on savait déjà en réalité. Mais il est bon de les répéter. Pour ceux qui savent. Et pour ceux qui ne savent pas.

Pour Philippe de Villiers, il est minuit moins trente secondes. Boualem Sansal lui aurait dit que la France ne résistera pas à l’islam, parce que nous sommes déjà couchés.

Ce qui est vrai. Il n’y a qu’à voir le nombre de mosquées qui prospèrent en France sans qu’on résiste. Payées par nous, bien sûr. Protégées pas nous, aussi. Plus que nos églises, on le sait.

Il n’y a qu’à entendre le recteur de la Grande mosquée, agent actif de l’Algérie, qui n’a à la bouche que les mots de « citoyenneté musulmane » (voir son billet de janvier) alors qu’il n’y a qu’une sorte de citoyenneté en France, la citoyenneté française. Il n’y a pas de place pour toute autre souveraineté, qui serait d’ailleurs aux ordres de l’étranger.

Le Recteur, dit Philippe de Villiers, ferait mieux d’être plus discret. Contrairement à ce qu’il croit, il n’est pas chez lui.

Il n’y a qu’à voir la prouesse de l’Action française de Lyon, bravo à elle, qui a repeint aux couleurs du drapeau français un escalier de Lyon, peint deux semaines avant aux couleurs palestiniennes alors que la Palestine n’existe pas et les Palestiniens non plus, il s’agit simplement d’une arnaque pour mieux faire une guerre complète à Israël. On en veut pour preuve les dirigeants palestiniens qui reconnaissent eux-mêmes qu’ils sont en réalité jordaniens, égyptiens, saoudiens, etc.

Personne n’avait protesté contre l’escalier peint aux couleurs de la Palestine, mais le fait qu’il puisse être peint aux couleurs de notre drapeau au contraire a soulevé un déluge de protestations et la maire de Lyon a immédiatement fait effacer nos couleurs ! Un pur scandale.

On se demande ce que font en France les gens qui n’aiment pas notre drapeau et donc notre culture et notre histoire et, s’ils sont français, quelle culture woke de gauche les a lobotomisés. Une telle attitude est proprement inacceptable et le mot est faible. Il y a une guerre qui est faite, en France, au drapeau français. Il n’y a qu’à voir les particuliers qui essaient de l’afficher et reçoivent l’ordre de le retirer.

Il n’y a qu’à voir les décisions de notre justice-mur-des-cons, qui donne des peines dérisoires à la racaille venue d’ailleurs, et des peines insensées aux patriotes de souche.

Il n’y a qu’à voir que tous les jours des églises brûlent, des femmes sont violées, des hommes saignés, par de nouveaux venus qui nous ont déclaré la guerre. Le jihad. Dans la plus parfaite indifférence. Un homme aujourd’hui a proféré des menaces dans une église, bousculé une religieuse, ouvert la porte à coups de pieds, mais personne n’a réagi.

Il n’y a qu’à voir le pognon de dingue que nous coûte l’immigration, que nous coûtent les mineurs non accompagnés. Le coût de l’AME, à laquelle personne n’ose toucher. Le coût des allocations dilapidées aux quatre vents. Le coût tout simplement d’accueillir des gens qui ne travailleront jamais, parce qu’ils en sont incapables.

Il n’y a qu’à voir les voiles et les kamis qui pullulent sans aucune discrétion et même, avec une certaine agressivité.

Boualem Sansal a ajouté : « Le pire, c’est quand les gens ne voient même pas qu’ils sont couchés ».

Trop de gens en effet sont soumis et ne le voient même pas. Ils s’imaginent que tout cela va pouvoir continuer ad vitam aeternam. Et tout d’abord, nos dirigeants, qui voient entrer tous les jours en France le fruit d’une immigration non contrôlée, qui nous coule. Certains sont pleins de ravissement devant ce spectacle.

Et puis une masse de Français qui tiennent à leur petite vie et ne veulent pas la déranger, ne veulent pas changer leurs petites habitudes, même pour éviter le pire. Ils laissent aux autres la charge d’agir.

Boualem Sansal lui-même croupit dans une prison algérienne sans que l’État français ne lève le petit doigt pour lui. Il ne faut pas irriter l’Algérie.

Une lueur d’espoir cependant aujourd’hui, il se pourrait qu’on renonce aux accords de 1968 passés avec l’Algérie. C’est une bonne nouvelle. Les Algériens doivent savoir qu’ils ne sont pas chez eux chez nous et que nous en avons assez de toutes ces compromissions.

Comme disent certains, tout est déjà perdu mais nous pouvons encore faire quelque chose…

Sophie Durand