Ces maires collabos qu’il faudra dégager en mars 2026

Le 2 octobre 2025, le magazine Frontières sortait en déclenchant immédiatement une énorme polémique à travers tout le pays.

Frontières - Notre nouveau magazine « Collabos : ces maires complices de  l'islamisme » est en kiosque !

Quel lièvre avait-il débusqué pour provoquer un pareil séisme politique ? C’est tout simple : le magazine publiait une enquête dénonçant la complicité des maires de 30 communes déroulant le tapis rouge à l’islam et lui servant de marche-pied. Avec un titre en gros caractères « Collabos ». La réaction des édiles concernés fut très rapide et surtout fort indignée. Les maires d’Annecy, François Astorg (EELV), et d’Annemasse, Christian Dupessey (PS), qui figurent dans cette liste de 30, ont annoncé leur intention de porter plainte pour diffamation. Dans un communiqué commun, ils dénoncent une « campagne de stigmatisation dangereuse » et rejettent des accusations qu’ils jugent « infondées ». En particulier, les mots employés par le magazine – surtout le terme « collabos » – sont qualifiés par ces élus d’« insultants » et « dangereux », certains y voyant une assimilation aux collaborateurs du régime de Vichy. Leur plainte ayant pour but de « défendre l’honneur » de leurs communes et de leurs habitants.

Quand vous voyez ces réactions, il y a vraiment de quoi se rouler par terre de rire. D’abord parce que ces gens de gauche (et de la droite molle) emploient à tout bout de champ les mots « extrême droite », « nazis », « fascistes » pour qualifier quiconque ose défendre la France, son identité, sa culture et s’oppose à l’immigration. Eux ont le droit d’employer ces mots parce qu’ils sont le bien et qu’ils dénoncent le mal. Mais si vous les traitez de « collabos » pour leur compromission avec l’islam… avec des preuves en plus, là ils pètent les plombs et portent plainte en se déclarant insultés et leur honneur bafoué parce que « collabos » laisserait entendre qu’ils seraient qui ont été les complices du régime de Pétain.

Sauf que, je fais là un rapide rappel historique, qui a mis en place le régime de Pétain ? C’est la gauche principalement. Cela s’est passé le 10 juillet 1940, à Vichy où sénateurs et députés furent réunis ensemble et décidèrent de voter les pleins pouvoirs à Pétain. Pour rappel, c’est le Parlement du Front populaire sous domination de la gauche qui a voté ce jour-là. C’est donc un fait historique incontestable : c’est la gauche qui a donné les pleins pouvoirs à Pétain. Sauf les communistes qui avaient été déchus de leurs mandats de parlementaires suite à la signature du pacte germano-soviétique. Et à l’époque, en juillet 1940, le PCF n’était nullement dans la résistance puisqu’ils soutenaient le pacte URSS – Allemagne nazie… pire ils appelaient les Français à ne pas se dresser contre les Allemands qui avaient envahi notre pays. Leur mot d’ordre de l’époque était « ne tirez pas sur un soldat allemand, derrière chaque uniforme il y a un travailleur ». Le PCF a même été jusqu’à demander à l’occupant allemand l’autorisation de faire reparaître légalement leur journal L’Humanité. Il fallu attendre que l’Allemagne envahisse l’URSS pour que le PCF appelle à la résistance en 1941. Tout cela est indiscutable, la gauche était collabo et c’est grâce à elle que le pays a basculé dans « les heures les plus sombres de notre histoire ». Mais comme aujourd’hui, et depuis près de 50 ans, on n’apprend plus rien à l’école, nombreux sont ceux qui l’ignorent et qui pensent que ces maires ont raison de se déclarer outragés par le qualificatif « collabos ». Pourtant c’est la stricte vérité. Hier, et aujourd’hui comme nous allons le voir.

Une maxime politique bien connue affirme :

« Quand on ne veut pas parler du fond, on parle de la forme ».

On vient de voir ce qu’il en est de la forme, et qu’il n’y a pas à s’offusquer lorsque la gauche et la droite molle sont accusés d’avoir été des collabos. Mais sont-ils aussi aujourd’hui des collabos ? Tout d’abord pour qu’il y ait des collabos, il faut des envahisseurs. En existe-t-il ? Commençons par préciser une chose : un individu qui entre dans votre pays en y étant invité est un immigré, un individu qui entre dans votre pays sans autorisation est un clandestin, lorsque des centaines de milliers et des millions entrent illégalement, c’est une invasion. Il faut donc le dire, il s’agit d’envahisseurs. De ce fait, pour commencer, disons clairement que notre pays est aujourd’hui envahi et que ceux qui favorisent cela sont des « collabos », tout comme en 1940 ceux qui acceptaient d’être envahis par les Allemands étaient des « collabos ».

Ajoutons un second élément non moins important que celui que nous venons de citer. Les envahisseurs d’aujourd’hui ont une caractéristique qui touche l’immense majorité d’entre eux : ils sont musulmans, adeptes de l’islam. Cela pose d’ailleurs un sérieux problème car notre société est bâtie sur un modèle totalement différent. Notre société est avant tout d’essence chrétienne et basée sur le décalogue. L’islam est basé sur la charia et le 1er des 5 piliers de l’islam (la shahada) proclame : « Il n’est qu’un dieu, Allah, et Mahomet est son prophète ». Ce qui en bon français se traduit par : aucune autre religion que l’islam n’est acceptable car elles adorent des dieux qui n’existent pas et très logiquement les tenants de l’islam veulent soumettre toutes les autres sociétés à leur dogme, par la force s’il le faut. Les exemples sont nombreux qui prouvent qu’ils ont utilisé la violence à de multiples reprises depuis l’apparition de l’islam en 632, pour s’imposer.

Être un collabo avec des islamistes n’est donc pas une mince affaire. Cela signifie être complice de ceux qui veulent d’une part conquérir notre pays, et d’autre part le transformer radicalement en l’obligeant à devenir musulman et à se soumettre à la charia. Logiquement, au lieu d’en rester à la forme (« ce n’est bien de nous traiter de collabos »), ceux qui sont en cause devraient plutôt répondre à la question : est-il exact que vous déroulez le tapis rouge aux islamistes… avec toutes les conséquences que cela aura s’ils devaient accéder demain au pouvoir ?

Le magazine Frontières cite 30 maires « collabos » en donnant bien sûr de très nombreux exemples des actions pro-islam qu’ils mènent, ou ont mené, en douce. Presque tous les maires cités sont de gauche ou de la droite molle. Des élus qui sont avant tout préoccupés par leur gamelle, et pour la garder demandent le vote des musulmans en échange de ce qu’ils font pour eux. Des élus qui se foutent complètement des conséquences de leurs actes. Le pire étant qu’ils jouent aux personnes outragées par les révélations de Frontières mais sont en réalité parfaitement conscients des forfaitures qu’ils commettent. De parfaits Tartuffe, et vous savez ce que disait Tartuffe : « Ce n’est point pêcher que pêcher en silence ». Oui, l’essentiel pour eux n’est pas de mal se conduire ni de notre pays ni de sa société. Non, l’essentiel est que cela ne se sache pas. D’où leur colère après les révélations du magazine Frontières.

Pour preuve de la véracité de ce qui précède, le rédacteur en chef de Frontières, Jules Laurans, a mis en ligne sur Facebook un message vocal expliquant que les maires de Haute-Savoie mis en cause par l’enquête avaient convoqué le 3 octobre 2025 une conférence de presse pour répondre aux accusations portées contre eux par l’enquête du magazine qualifié par eux de « torchon fascisant ». Deux de ces maires sur les quatre incriminés ont été jusqu’à dire qu’ils n’avaient jamais été contactés. Mensonge éhonté dont le magazine a fait litière en publiant les échanges de mails avant les entretiens qu’ils ont eus avec ces maires. Mais, par contre, aucun de ces maires n’a répondu aux preuves données par Frontières. Et là où l’on se pince pour y croire, c’est que Frontières a été empêché de se rendre à cette conférence de presse alors que son journaliste, Jordan Florentin, était en Haute-Savoie. Aucun maire en cause n’a accepté de donner l’adresse, de même qu’aucun journaliste (FR3, journaux locaux, etc.) ce qui montre le degré de complicité et de compromission entre ces élus et ces journalistes aux ordres qui, main dans la main, empêchent ceux qui voulaient obtenir des réponses à leurs questions légitimes et dérangeantes de pouvoir les entendre. Ces journalistes sont la honte de leur profession, et malheureusement de nos jours ils sont forts nombreux. Tout comme ces maires qui sont vendus à l’islam et se foutent de l’intérêt de leur population et plus généralement des intérêts du pays.

L’an prochain auront lieu les élections municipales. Ce sera le moment de renvoyer à leurs chères études tous ces élus corrompus et vendus. Sur ce plan Frontières en publiant son enquête contribue à une œuvre de salubrité publique.

Bernard GERMAIN

Date de dernière mise à jour : 17/10/2025

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