Cada de Saint-Brevin : les premiers migrants arrivent, les parents d’élèves tremblent

Les autorités, la municipalité et les médias exultent. Un deuxième Callac n’a pas eu lieu à Saint-Brevin. Les premiers clandestins arrivent depuis ce lundi. Comme d’habitude, on met en avant une femme pour masquer que la presque totalité des occupants seront des hommes jeunes, qui accéderont au Cada par la même porte que celle des enfants entrant à l’école.

Malgré une mobilisation de tous les moments, durant deux ans, et des rassemblements massifs, la demande d’un référendum et l’exigence que cela soit d’abord des Français qui occupent les chambres de ce Cada ont été méprisées par le nouveau maire, Dorothée Pacaud, fer de lance de l’installation de ce projet. Pourtant, 600 SDF français meurent tous les ans dans la rue, et l’Union syndicale du Logement annonçait que 2,4 millions de foyers attendaient un nouveau logement.

Bien sûr, dans le contexte de Lola et de Thomas, mais aussi d’une multiplication d’agressions, de vols et de viols qui touchent des Français de tous âges, enfants comme personnes âgées, ce passage en force provoque une inquiétude, voire une angoisse, légitime dans la population, que Dorothée Pacaud et ses complices de gauche et d’extrême gauche traitent par le déni, le mépris et les insultes.

Le collectif de Préservation de la Pierre Attelée ne baisse pas les bras, et continuera, sous d’autres formes, le combat engagé depuis deux ans. Il saura demander des comptes à la municipalité, au préfet et au gouvernement si, par malheur, les inquiétudes légitimes des parents d’élèves et des familles se trouvaient confirmées par un drame touchant des enfants ou des enseignants.

La Rédaction