OPHÉLIE MEUNIER (Zone Interdite) la journaliste menacée et placée sous protection policière

et quasiment aucune rédaction de journal n’a condamné et exprimé sa solidarité LAMENTABLE !

Le silence des rédactions est assourdissant.

Après les menaces de mort contre Ophélie Meunier ou contre certains intervenants dans le reportage sur l’Islamisme Radical à Roubaix, beaucoup s’étonne de voir très peu de journalistes monter au créneau.

OPHÉLIE MEUNIER

Le CLUB DE LA PRESSE ET DES MÊDIAS LIBRES (CPML)* a dénoncé immédiatement ce comportement décevant de la plupart des médias.

En dehors du CPML, il faut noter que seulement quatre sociétés de journalistes ont exprimé leur solidarité. Il s’agit des sociétés des journalistes (SDJ) du journal télévisé de M6, de la radio RTL, de BFM TV et la société des rédacteurs de Cnews 

FIGAROVOX/TRIBUNE – Menacée de mort, la journaliste de M6, Ophélie Meunier, a été placée sous protection policière après la diffusion de l’enquête de «Zone interdite» sur l’islam radical. Céline Pina déplore un État faible qui ne parvient pas à lutter contre le séparatisme.

(…) Ce qui arrive à Ophélie Meunier n’est pas différent de ce qui arrive à Mila, il s’agit ici d’imposer des règles liées à la charia en utilisant la violence politique et en profitant de la faiblesse du pouvoir. L’accusation d’islamophobie devient la nouvelle arme de la censure. Dans les deux cas la menace est concrète : il y a de fortes chances qu’elle suscite des passages à l’acte et l’État, insuffisamment capable d’imposer l’ordre public, n’a pour seul recours que de protéger, quand il en les moyens, la personne menacée. La menace islamiste est effective : ceux qui refusent de se taire en payent immédiatement le prix dans leur vie quotidienne et vivent avec l’épée de Damoclès de l’exécution au-dessus de leur tête. L’islamisme est l’idéologie qui unit en son sein le canal terroriste et le canal politique et les met au service des mêmes objectifs : la réislamisation des personnes d’origine arabo-musulmane et la transformation de l’Europe en terre d’Islam.

Ces pratiques ne sont ignorées de personne mais le monde politique continue à fermer les yeux. Résultat : dénoncer l’emprise islamiste c’est se mettre véritablement en danger, tandis qu’entretenir des liens avec les représentants des différentes sectes de l’islam politique permet dans certaines villes et circonscriptions, de prendre le pouvoir. Le courage met donc en danger tandis que le clientélisme paye. On ne peut donc que souhaiter que le pouvoir politique arrête le « et en même temps » délétère, dénonçant l’islamisme d’un côté mais pactisant avec lui à travers ses liens avec les frères musulmans dans le cadre de l’AMIF et de son projet d’institut de formation des imams, sa réflexion autour de la taxe halal, comme son aveuglement sur la prise en charge des constructions de mosquées par les villes via les baux emphytéotiques, un des principaux outils du clientélisme islamiste et de l’extension de son influence. Tant que la lutte contre le séparatisme ne s’attaquera pas à la politique d’influence de l’islam identitaire, journalistes, professeurs, policiers, lanceurs d’alerte seront des cibles politiques.

* Le CLUB DE LA PRESSE ET DES MÊDIAS LIBRES (CPML)

Défense de la liberté de la presse face aux censeurs payés par les États ...

C P M L - INTRODUCTION

Dans la période que nous traversons, fort agitée et très instable, la liberté d'expression est mise à mal, souvent bafouée et même parfois, supprimée. La base de la démocratie, c'est pouvoir s'exprimer librement, que ce soit dans la rue, sur les journaux et plus généralement dans les médias. 

Si les règles doivent bannir les propos racistes et discriminatoires, les citoyens ont par contre le droit absolu de s'exprimer librement et d'apporter leur soutien ou leur désaccord à n'importe quelle idéologie, qu'elle soit politique ou religieuse; 

De même, aucun mot ne doit être proscrit du langage, quand bien même la parole prononcée serait mal acceptée par des groupes ou des assemblées se considérant atteintes dans leur pensée ou dans leur dogme.

Plus généralement, on doit considérer qu'il ne doit pas exister pas de limite dans la parole publique, à condition toutefois qu'elle ne soit pas colomnieuse ou injurieuse.

Doit-on pouvoir rire de tout ? OUI, et sans retenue. La critique et l'humour doivent être traités à la dérision. 

Faute de quoi, la vie n'a plus de sens, et l'existence de chacun d'entre nous glisse vers l'angoisse, la déprime et la prostration.

Aussi, les journalistes indépendants viennent de fonder le  Club de la Presse et des Médias Libres (CPML), une association destinée à défendre toutes les libertés d'expression à quelque titre que ce soit. Ce club mène un véritable combat pour s'exprimer dans une indépendance totale, en mettant en exergue, la v&érité et rien que la vérité. 

Le CPML associe à sa dénomination, celle de Gabriel Domenech qui fut en son temps un très grand journaliste, à la plume tendre et féroce à la fois. Un journaliste qui fut incontestablement un grand "Monsieur" de la presse, et qui a laissé derrière lui,; plus de 30 ans après sa disparition, une idée exceptionnelle de la presse nationale et locale, ce qui est devenu extrêmement rare à l'heure d'aujourd'hui. Vous trouiverez dans les lignes qui suivent la biographie de Gabriel Domenech, un homme de talent, de bon sens, et de grande intelligence. 

Pierre REYNAUD

GABRIEL DOMENECH

Défense de la liberté de la presse cliquez sur le lien ci-contre

 

 

 

Date de dernière mise à jour : 03/02/2022

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