
Moi, je veux bien avancer des solutions aux problèmes létaux que rencontrent certains corps de métier en France, encore faut-il qu’ils comprennent ce qu’on leur propose, ce qui pose un autre problème qui est leur niveau de QI.
Prenons la police dite nationale qui n’arrête pas d’envoyer des syndicalistes pleurnicher à longueur d’antenne sur les plateaux TV à chaque fois qu’un des membres des forces de l’ordre se fait butter-tabasser-rouler dessus, notamment par des multirécidivistes et plus généralement par du coloré-basané-maho-méthanisé du cervelet ou du gauchiste.
Si on considère l’adage juridique cardinalement judicieux, savoir que « nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes », on est fondé à penser que les policiers sont aussi coupables de ce qui leur arrive que ceux par qui cela leur arrive, car les premiers ne prennent pas les dispositions nécessaires pour que cela ne leur arrive pas, ou du moins pour en réduire dans les 90 %, comme au Salvador, les risques.
Prenons les multirécidivistes violents qu’ils défèrent trois nuits par semaine comme dans la chanson d’Indochine devant des juges qui les libèrent les mêmes trois nuits par la même semaine, si ledit multirécidiviste la semaine suivante roule sur un policier, qui est le plus coupable ?
Le multirécidiviste ? Le juge laxiste ? Ou le policier qui a déféré au juge laxiste ?
Les béotiens de la logique et du raisonnement, d’un seul coup, comme un seul homme ou une seule femme, voire un seul trans’ vous affirmeront que c’est le multirécidiviste le seul et unique coupable.
Moi je dis non, faut prendre le temps de réfléchir et raisonner plus amplement sur les causes d’un phénomène pour son éradication définitive.
J’estime nécessaire d’établir ou d’écarter sans rémission possible tout lien de causalité irréfragable entre les impétrants dans ce problème de logique mathématique à trois corps.
Si le multirécidiviste a roulé sur le forcé de l’ordre, c’est bien parce que le juge l’a libéré, donc l’a mis en liberté de se mettre au volant d’un totomobile pour les uns, d’une tatamobile pour les autres genrés.
Voyez-donc, le juge est bien quasi coauteur de l’infraction puisqu’il a participé à sa réalisation en procurant au délinquant les moyens de l’accomplir en le rendant libre de le faire.
Ceci est prévu par les textes et la jurisprudence d’ailleurs, puisque est considéré comme complice par l’article 121-7 du Code pénal celui qui fournit les moyens de l’infraction : « Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation ».
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417212
En libérant sciemment un multirécidiviste au lieu de le maintenir en détention, tout juge donne donc aide et assistance en facilitant la préparation ou la consommation des crimes que ce premier sera amené à commettre dans les mois ou les années suivantes.
Il en va de même avec les dealers que les juges ne mettent jamais à l’ombre et qui multirécidivent, eux, à longueur d’année dans l’indifférence la plus totale des procureurs et préfets qui, eux aussi, on l’a vu, sont tout autant complices par inaction :
https://ripostelaique.com/trafic-de-drogue-a-rennes-et-lyon-politiciens-police-et-justice-complices.html
Or dans notre sujet à trois corps du jour, il ne suffit pas d’en rester aux seules responsabilités du délinquant et du juge, il faut examiner au plus près la chaîne complète des causalités comme l’exigent désormais certaines cours, soit également la responsabilité causale première du policier qui, en quelque sorte, participerait lui-même à la position de se faire rouler dessus, ou de faire rouler dessus un de ses collègues.
En effet, il est désormais de notoriété, et les syndicalistes policiers ne se font plus faute de le souligner publiquement, assez pour qu’on en soit persuadé, qu’une majorité de magistrats par leur laxisme ont basculé du côté des voyous quand ils ne sont pas carrément complices comme on vient de le voir.
Un policier pétri du principe constitutionnel de précaution ne devrait donc plus déférer devant la magistrature aveuglément car c’est jouer à la roulette russe avec peu de chances de tomber sur un non laxiste, le vrai policier soucieux de sa vie ou de celle de ses coreligionnaires déférera devant un juge qu’il sait non laxiste qui internera immédiat jusqu’au jugement. Dans le doute, il s’abstiendra et se chargera lui-même de l’exécution de la peine qu’il aura décidée.
Ainsi la responsabilité du policier qui défère sciemment un multirécidiviste à un juge qu’il sait laxiste et qui va le libérer est engagée car il participe de même à la fourniture de moyens qui vont permettre audit délinquant de réaliser ses futurs crimes : ledit policier fait alors partie de la chaîne des responsables qui conduisent dans « l’espace et dans le temps » à « une même situation de danger » comme l’a déjà motivé une chambre d’instruction d’une cour d’appel pour mettre en examen des sauveteurs en mer qui n’avaient pas agi suffisamment sciemment rapidement dans leurs opérations de sauvetage :
« C’est « l’ensemble de ces circonstances concrètes », « liées entre elles dans le temps et dans l’espace », qui a alimenté « une même situation de danger »
Si on transpose, nos trois corps (policier qui défère devant un juge qu’il sait laxiste, juge laxiste qui libère, et multirécidiviste qui roule sur le policier ultérieurement) constituent bien cet ensemble de circonstances concrètes liées entre elles dans le temps et dans l’espace qui alimentent une même situation de danger, ici pour le policier roulé dessus.
La résolution de ce problème à trois corps ne peut donc passer que par le bris de ladite chaîne de causalités qui conduit au roulé dessus, et le premier et seul à pouvoir laminer l’ensemble de la chaîne est le policier premier maillon de ladite chaîne qui peut user de deux options : soit la corvée de bois du délinquant qu’il sait libéré dans l’heure s’il est déféré avec l’enchaînement infernal où nous venons de voir où cela conduit, soit abattre le juge en espérant qu’au laxiste enfin éliminé définitif fera place un non laxiste dur de dur façon Aussaresses.
Or dans cette dernière option, l’élimination du juge, le bris de chaîne reste laissé à l’aléatoire d’une nomination, si un nouveau juge laxiste prend le poste, il faudra abattre à nouveau, et vu le nombre de juges laxistes dans le pays, on s’achemine vers un dépassement budgétaire pour achat de munitions au ministère de l’Intérieur qu’il faudra justifier devant Bercy.
Je vois mal le petit père du peuple Nuñez arguer dans une note à Bercy que l’inflation d’utilisation de munitions a pour cause la nomination « efresnnée » de juges laxistes par son collègue du Conseil des ministres, il serait plus moral d’arguer que la délinquance en France explose, ce qui n’est que réalité indiscutable à laquelle Bercy ne pourra que convenir, et que ses troupes doivent s’exercer en conséquence.
Donc je veux bien donner la résolution du problème à trois corps qui conduit à l’insécurité générale dans le pays, savoir en primo la corvée de bois pour tous les multirécidivistes violents et dangereux, en secundo l’élimination des juges laxistes pour éviter tout risque de multirécidive, je ne suis pas sûr que la corporation policière comprenne où est son intérêt à suivre mes préconisations.
C’est pourtant d’une logique irréfragable, pour ruiner en solution finale une conséquence que l’on sait néfaste pour tous, il faut mais il suffit de s’attaquer à sa ou ses causes premières.
Car sinon les conséquences se perpétueront éternellement puisque la ou les causes continuant d’exister, elles exerceront toujours leur action néfaste.
C’est pourtant simple, non ?
Ben non, les gens ne comprennent plus les choses les plus simples, ils préfèrent se compliquer la vie tout aussi éternellement en s’escrimant à lutter contre les conséquences plutôt que les causes en multiplications exponentielles qui multiplient tout aussi exponentiellement lesdites conséquences de jour en jour.
On comprend donc fort logique qu’un jour ou l’autre les conséquences en roue libre finissent par submerger toute une corporation puisque les causes desdites conséquences jamais réduites persistent à les multiplier.
Et le policier roulé dessus, il nous dit quoi ?
Comme petit Gibus, s’il avait su, il serait pas venu ?
Jean d’Acre